Trains of Thoughts

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Bande-annonce
Autriche, 2012, 85 min

Réalisation:

Timo Novotny

Scénario:

Timo Novotny

Photographie:

Timo Novotny

Musique:

Wolfgang Frisch
(autres professions)

Résumés(1)

For the majority of people, the subway merely represents a reliable means of transportation that quickly and safely transports them to their destination. Timo Novotny’s audiovisual essay, however, reveals that the underground railway is much more. It is quite literally the seedbed of a wide variety of human stories (New York), a center of diverse musical production (Los Angeles), a favored locale of suicide and sexual deviance (Tokyo), a glitzy tourist attraction (Moscow), or an ideal place for study or relaxation. Set to the excellent, uninterrupted soundtrack by Sofa Surfers (rightfully dubbed the Austrian Massive Attack), the filmmakers accompany us through the underground railways of several world metropolises, discovering what makes them unique. Sometimes visually reminiscent of a classy music video, this whimsical movie stands out for its original visual treatment and effective interplay of music and image. (Karlovy Vary International Film Festival)

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Critiques (1)

POMO 

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français Ce film contient quelques passages qui évoquent notre quotidien (par exemple, l’impression d’anonymité collective parmi les passagers d’un wagon de train), mais pris dans son ensemble, il n’a pas de concept. Les cinéastes se sont contentés, sans avoir de vision ou de but précis, de faire différentes prises, de parler à des personnes diverses dans le métro et d’utiliser les parties les plus intéressantes. Le Japon est – notamment grâce à la qualité de la narration – excellent. Il est vrai que je n’ai encore jamais vu Tokyo décrit si habillement en seulement 20 minutes. New York et Los Angeles sont OK, mais rien de spécial ne ressort, à l’instar de Hong Kong, où l’on n'apprend rien sur les passagers en comparaison avec Tokyo (on apprend juste qu’ils sont dérangés par les centres commerciaux construits au-dessus des stations de métro). Moscou semble ne pas du tout faire partie du film, et le plus vieux métro du monde (Londres) se voit boudé. ()

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