Top Gun : Maverick

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Bande-annonce 10

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Après avoir été l’un des meilleurs pilotes de chasse de la Marine américaine pendant plus de trente ans, Pete “Maverick” Mitchell continue à repousser ses limites en tant que pilote d’essai. Il refuse de monter en grade, car cela l’obligerait à renoncer à voler. Il est chargé de former un détachement de jeunes diplômés de l’école Top Gun pour une mission spéciale qu’aucun pilote n’aurait jamais imaginée. Lors de cette mission, Maverick rencontre le lieutenant Bradley “Rooster” Bradshaw, le fils de son défunt ami, le navigateur Nick “Goose” Bradshaw. Face à un avenir incertain, hanté par ses fantômes, Maverick va devoir affronter ses pires cauchemars au cours d’une mission qui exigera les plus grands des sacrifices. (Paramount Pictures FR)

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Bande-annonce 10

Critiques (15)

POMO 

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français Que Kosinski maîtrise la visualisation et les émotions, nous le savions depuis longtemps, et ici, avec Bruckheimer et Cruise, nous sommes transportés sur une très agréable vague de nostalgie. La connexion avec le film original est littéralement pleine d'amour, les motivations des personnages sont complexes et enrichissantes. Les fans de l'original obtiendront plus et mieux du même contenu, avec une mise à niveau des scènes d'action jamais vues auparavant, un spectacle aérien physiquement honnête, comme celui de Nolan. Je n'ai pas été aussi captivé dans un siège IMAX depuis longtemps. Je n'accorde pas la cinquième étoile, parce que le schéma narratif était 90% du temps prévisible sans risque, exactement comme pour satisfaire les fans de l'original. Les 10% restants sont ensuite une attraction hollywoodienne merveilleusement fabuleuse. Et j'ai été ravi de l'incorporation du personnage de Val Kilmer. ()

Goldbeater 

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français Certes, ce n’est pas ce qu’il y a de plus surprenant, innovant, ni même irréprochable. Pourtant, dans le nouveau Top Gun : Maverick, tout est si efficace, captivant et tout simplement « bien tapé » que j’en suis ressorti avec l’une des expériences filmiques les plus suprêmement satisfaisantes de ces derniers mois. Voici comment on fait une suite après des années, comment on fait un blockbuster hollywoodien, en gros, comment on fait un FILM ! Et sortir du cinéma sous le halo orangé du soleil couchant aux heures magiques sans s’y attendre, ce n’est que la cerise sur le gâteau. ()

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claudel 

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français Top Gun et sa suite évoquent en moi de la nostalgie, de l'émotion et du symbolisme, et ce pour plusieurs raisons, objectives et subjectives. Enfant, j'étais allé voir le film original avec mon père dans un cinéma de quartier avec des sièges en bois. Trente ans plus tard, voilà qu'on répète l'opération, toujours dans un cinéma de quartier, mais cette fois dans les sièges confortables que notre cinéma a acquis dans le cadre de sa rénovation. Val Kilmer constitue probablement l'élément le plus émouvant de cette suite, avec la façon dont le scénario a pris en compte sa destinée en l'intégrant, au moins symboliquement, dans l'histoire. Quant à Tom Cruise, qui est l’un de mes acteurs préférés depuis des dizaines d’années, il m’épate dans tout ce qu’il fait et si on pouvait tous être comme lui à soixante ans, le monde serait plein de beaux mâles ! Il en va de même pour Jennifer Connelly dans un contexte féminin. J’ai savouré chaque minute et chaque scène de ce film et je suis d’accord pour dire que c’est l’une des plus importantes sorties au cinéma cette année et l’une des meilleures suites de tous les temps. Les scènes de combat sont palpitantes à souhait et le politiquement correct à tout crin ne m’a pas dérangé cette fois-ci. Donc pour finir, il ne manquait que Take My Breath Away ()

Lima 

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anglais Tommy negotiated a 20% cut of every ticket sold, clever boy, and with himself as producer he serves us a fairytale that is beautifully filmed, but with a plot that is cliché as hell. Fighter jets have never been so sexy, in the cockpit shots you can totally see the effects of overload on the actors' faces, every extra mach – nostalgia is fine if you know how to work with it – but it all goes follows classic predictable Hollywood notes, you can guess exactly what will happen in the next scene, there is no moment of surprise, this film can only dream of some surprising twists. I was thoroughly bored for the first half, and in fact for the rest of the film. The only one who gave me the creeps was Val Kilmer, especially if you know about his health. The final praised action set-piece looked like a CGI cut scene from “Call of Duty”, the only thing missing was a gamepad in my hands. I think the current 92% here is nonsense. ()

Matty 

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anglais Of course, the biggest attraction of the new Top Gun is not the supersonic fighter jets, but Tom Cruise in thrall to his own acting legacy. As is usually the case with legacy sequels, 90% of the plot is a copy/variation of the events of the first film (the opening and closing credits are practically identical). Whereas Cruise was a student in the first Top Gun, this time he’s an instructor (and stand-in father) who shows the novices how it (aerial manoeuvres and action movies) is supposed to be done. Thanks to his emphasis on the human element (repeating the line that what matters is the pilot’s skill, not the machine’s capabilities), he saves the day (and the action genre, which he is breathing new life into). Nevertheless, he remains a rebellious outsider who rides the (same) motorcycle, wears the (same) leather jacket, doesn’t respect authority and doesn’t read manuals. At the same time, however, he obediently serves the military-industrial complex, so his rebelliousness is only superficial. Because Maverick chose to go his own way (just as Cruise’s career comprises a separate universe that is not part of the dominant comic-book multiverse), he has not put down roots and remains a solitary figure (which is constantly emphasised by how he observes the other characters from afar rather than coexisting with them). Like the most recent Bond film, Top Gun: Maverick is packed with nostalgic looks back at the past, admitting one’s own vulnerability and coming to terms with the fact that our time on earth is limited (Cruise will soon be 60 years old). Seeking out and pondering the parallels between Maverick and Cruise by going through his filmography and reflecting on his image as a star was truthfully more entertaining to me than the numerous aerial scenes, which, with the exception of the last one, which takes place over a snow-covered landscape for the sake of variety, are interchangeable, with such rapid cuts that you can’t really enjoy them much anyway (it’s worth seeing the film in IMAX mainly for the sound). The same is true of the variation on the legendary volleyball scene. The game of (American) football on the beach is shot predominantly against the sun, chopped up with a lot of unnecessary cuts and absolutely asexual. I guiltily admit that watching it made me long for Scott's advertising-video aesthetic and shameless objectification of semi-nude male bodies. I would have found such stylisation more appropriate for a blockbuster heroic, action-melodrama that basically takes place completely outside of any real socio-political context, in a world that exists solely for the purpose of showing off aerial acrobatics and Tom Cruise’s smile. 75% ()

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