Carnage

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Bande-annonce 2
France / Allemagne / Pologne / Espagne, 2011, 76 min

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Dans un jardin public, deux enfants de 11 ans se bagarrent et se blessent. Les parents de la "victime" demandent à s'expliquer avec les parents du "coupable". Rapidement, les échanges cordiaux cèdent le pas à l'affrontement. Où s'arrêtera le carnage ? (Wild Bunch Distribution)

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Bande-annonce 2

Critiques (10)

claudel 

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français J'aurais probablement été enthousiaste si je n’avais pas déjà vu ce superbe dialogue interprété en direct il y a quelques mois au Club dramatique. Comparé à la pièce, le film paraît aride, contenu et inexpressif. Au théâtre, les incessants coups de fil étaient juste parfaits au point de susciter des vagues de rire à chaque fois. Par contre, dans le film, c'était plutôt perturbant, même si Christoph Waltz donne le meilleur de lui-même comme à son habitude. Certaines pièces de théâtre devraient se passer d’une adaptation cinématographique, même si ce sont un réalisateur et des acteurs compétents qui s’en chargent. ()

POMO 

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français Closer était une pièce de théâtre adaptée à l’écran, c’est-à-dire traduite en langage filmique. Par contraste, Carnage est une pièce de théâtre en l’état, filmée et montée de sorte qu’elle fonctionne à l’écran. Les acteurs de théâtre ne peuvent pas compter uniquement sur leurs expressions faciales (que les spectateurs ne voient pas de loin) et doivent, par conséquent, surjouer – ils accentuent leur gestuelle et élèvent la voix. Carnage ne traduit pas la pièce originale en langage filmique et se contente de filmer statiquement l’action pour l’écran (notamment en montrant les visages de près). Il n’est donc pas étonnant que certains disent que ce film n’a pas de raison d’être. Mais pour moi, ce film n’est pas futile, et cela pour deux raisons : 1. Même si on a l’occasion de voir la pièce au théâtre, il est peu probable que ce soit avec ces quatre acteurs-là ; 2. Regarder ce super-quatuor d’acteurs en sachant qu’ils se feraient un plaisir de jouer pour Polanski même sans exiger de cachet est pour moi un privilège. ()

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Malarkey 

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anglais Good dialogues are a good foundation of a high-quality dialogue-based movie. The premise itself takes the lead role here – it’s incredibly original – and the actors are doing such a great job it seems they loved the premise as well. My personal favorite was Christopher Waltz and his incredibly arrogant lawyer. Nevertheless, I believe that different viewers will fall for different characters. This movie literally lives and dies with the actors and I believe that a stage play with good actors could yield the same result. ()

novoten 

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anglais What Polanski gains with Waltz's smirk or Winslet's unobservable expression, is destroyed by the overburned premise that could not work fully outside the theater. All the coming out of doors and calling the elevator is too stupidly unnecessary in the first half, when it is absolutely clear that it will lead to nothing and everything returns to the two rooms with incomprehensibly violent tricks. Without the convulsive lacing of the plot in one place, the sad irony with directly corrosive satire at its heart would work much better, like this the massacre only hints at. ()

J*A*S*M 

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anglais Polanski et al. have the misfortune that I saw Carnage at the theatre. There, it made me almost die in laughter, at the cinema, however, I smirked amusingly here and there (mostly over Christoph Waltz’s smirks) and laughed (reminiscing the theatre play). It’s a good film, no doubt, with good performances and direction, but I can’t avoid being disappointed, even though I’m rationally aware that comparing a theatre play with a film is stupid. Though in this case is not that stupid actually, because you can really see the theatrical origin of the film… Some lines are clearly not uttered by a normal film character, but very “theatrically” by a character in a play. ()

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