Résumés(1)

Patrick et Rémy n'ont ni peuple, ni pays, ni armée: ils sont roux. Ensemble, ils vont combattre le monde et sa morale, dans une quête hallucinée vers l'Irlande et la liberté... (UGC Distribution)

Critiques (5)

POMO 

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français Amorale mais sensible, morbide, psychologiquement tendue, un explosif émotionnel pulsant en interne, renforcé par les performances énergiques de Cassel extroverti et de Barthelemy introverti. Un soulagement anarchique des ressentiments passés envers des "inconnus innocent", allant jusqu'à dépasser les limites de la loi. Ceux qui sont isolés et absurdes dans le film Takí normálni zabjaci peuvent envier le silence de Stone. ()

Marigold 

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anglais Redhead rebellion. A schizoid ride that begins as a black comedy and ends as a pure figment of insanity - misanthropy, terror, the instinct of death. A searing counterpoint to contemporary "social" idylls, and yet a film that sees into xenophobia and social segregation surprisingly deeply. The performances of the central couple are inhuman, the direction absolutely epic. Gavras is a man with a fantasy in a completely different dimension than one would expect. I wouldn't really consider calling a film about two sociopaths terrorizing the innocent “romantic" in the truest sense of the word (a fictional space of escape from reality, not milking the viewer). Although that Rachmaninoff guy says in the introduction that this is going to be something monstrously beautiful. And it is. Top 5 of 2010. ()

DaViD´82 

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anglais Such normal red-faced assassins, or red-haired anarchists on the warpath against the established unredeemed order. Whether it's a sociological probe into the origins of xenophobia, a study of the effects of bullying, or simply an insight into the sick mind of Mr Gavras, it's above all fascinating. Disturbingly fascinating. ()

claudel 

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français Les gens désespérés font des choses désespérées… Cette petite phrase célèbre me semble être des plus pertinente pour ce film. Le scénario est excellent, la musique martelante, les acteurs brillants ; les scènes sont choquantes et la violence y occupe le premier rôle. Cette œuvre ne fait que confirmer à quel point le cinéma français est varié, même si c’est ici un Grec qui était derrière la caméra… ()