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Véritable mythe, Carlos est au cœur de l’histoire du terrorisme international des années 1970 et 1980, de l’activisme propalestinien à l’Armée rouge japonaise. A la fois figure de l’extrême gauche et mercenaire opportuniste à la solde des services secrets de puissances du Moyen-Orient, il a constitué sa propre organisation, basée de l’autre côté du rideau de fer, active durant les dernières années de la guerre froide. Le film est l’histoire d’un révolutionnaire internationaliste, manipulateur et manipulé, porté par les flux de l’histoire de son époque et de ses dérives. Nous le suivrons jusqu’au bout de son chemin, relégué au Soudan où la dictature islamiste, après l’avoir un temps couvert, l’a livré à la police française. Personnage contradictoire, aussi violent que l‘époque dont il est une incarnation, Carlos est aussi une énigme. (MK2)

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Marigold 

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anglais Despite liposuction, Carlos is still an hour overweight. Or two hours underweight, depending on which side we look at it from. In any case, it does not work very well as a film, because it describes an overly long period of time using a spartan design and a not-so-sensitive edit. Ramíréz is awesome, but mostly the way he works with his body. It's worse with the psyche, and Assayas' work brings it closer to Edel's The Baader Meinhof Complex. Which is not a win, because against the slender and agile German athlete, this tall Venezuelan has no chance of going above average - the "television style" is taking his oxygen away. ()

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