Résumés(1)

À Philadelphie, cinq individus débutent leur journée le plus banalement du monde. Ils pénètrent dans un immeuble de bureaux et montent dans l'ascenseur. Personne ne se connaît ni ne se salue. Ils n'auront à partager cet espace clos que pour un court instant. Mais, quand l'ascenseur reste bloquer, ce qui semblait aléatoire, s'avère vite parfaitement intentionnel, et leur sort ne leur appartient plus. Ces cinq inconnus vont voir leurs secrets exposés au grand jour, et chacun va devoir répondre de ses fautes. Doucement, méthodiquement, leur situation évolue de la simple contrariété à l'angoisse, puis à l'horreur totale. Un à un, l'adversité les frappe, alors que le doute quant à l'identité de l'auteur de ces terribles événements plane sur toutes les têtes... jusqu'à ce qu'ils comprennent l'affreuse vérité : l'un d'eux est le diable en personne. (Universal International FR)

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Critiques (10)

POMO 

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français Horreur de série B avec des acteurs moins chers et des incohérences notables. Mais techniquement bien réalisé, avec d'excellents génériques, une atmosphère solide et une conclusion tout à fait fonctionnelle. Si ce n'était pas pour des films d'horreur de série B plus anciens et encore meilleurs tels que Cube ou Saw, qui m'ont ébloui et auxquels j'ai donné "seulement" quatre étoiles, je me serais probablement tourné vers quatre étoiles également pour Devil. ()

claudel 

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français Un thriller décent qui se déroule dans l’environnement claustrophobe d’un ascenseur pas franchement grand. L’intrigue évolue rapidement vers le final appréhendé avec un dénouement que j’ai à moitié deviné. Et là où il y a du Shyamalan, les spectateurs sont rarement déçus. Remarque : je n’ai pas vu Le Dernier maître de l'air. :-) ()

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DaViD´82 

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anglais It takes seventy minutes carefully building a disconcerting atmosphere, relationships and tension between characters, only for all this to fizzle out, instead of reaching a climax and hitting hard with a message. Too bad, because it’s the ending/punchline of these genre snacks that separates the wheat from the chaff; leaving just the bold deeds of those who we can remember. ()

Isherwood 

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anglais A sympathetic genre film that doesn't quite utilize its idea right, but it works a treat in a darkened movie theater with excellent sound. The question of "Who could it be...?" will probably end up being the right guess for a lot of people, but given the runtime, it works quite well, although the camera spends a lot of time flying around the building rather than in the incriminating elevator. The ending is questionable, but it's still based on a simple story... and Shyamalan's head. Regardless, Dowdle has talent. ()

J*A*S*M 

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anglais I feel sorry for John Erick Dowdle, nobody knows the excellent The Poughkeepsie Tapes, Quarantine is the most pointless film of the decade and Devil is killed by Shyamalan’s creative crisis, but he knows the craft and one day he’ll make a proper genre gem, at least I hope. But well, let’s talk about Devil. The opening upside down flight over a city with some great music is perfect to whet the appetite, but the rest of the film is a five out of ten. Technically it’s fine, but the five victims, the detective, the security guards – everyone, basically – are incredibly unlikeable, behave in an unexplained fashion and sometimes utter words that I was unable to understand. If we add to this the fact that the performances are rather poor, the conclusion we reach is that this film simply cannot work. And that’s exactly the case, with the exception of the moments when nobody speaks. The twist does answer the question of who’s the devil, but why the devil did what he did remains a mystery. I’d rather ignore the moral of the closing scene, otherwise I would have to rate it even lower, which I don’t want to do because of the premise, the technical quality, a couple of chilling moments, and the music. 6/10 ()

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