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  • États-Unis Dressed to Kill (plus)
Bande-annonce

Résumés(1)

Kate Miller souffre de fantasmes érotiques si vivaces qu'elle a du mal à faire la part du rêve et de la réalité. Un matin, elle se rend chez son psychiatre, Robert Elliot, pour lui parler de ses déceptions sexuelles avec son mari. En se rendant au musée, Kate séduit un homme qui l'emmène dans son appartement pour y passer la nuit. Le lendemain matin, en prenant l'ascenseur pour quitter l'immeuble, Kate est atrocement assassinée à coups de rasoir par une femme blonde portant de grosses lunettes noires. Liz Blake, une call-girl de haute volée, est témoin du crime : elle a aperçu la tueuse au rasoir. Le jour suivant, au commissariat de police se retrouvent le docteurr Elliot, Peter Miller, le fils de Kate, et Liz Blake. Tous les soupçons retombent sur Liz. Dans les jours qui suivent, la call-girl est traquée par la tueuse blonde, mais Peter réussit à la sauver in extremis. Le fils de Kate, spécialiste en électronique, met au point une caméra qui lui permet de découvrir que la tueuse est une patiente du docteur Elliot. Afin de découvrir le nom de la malade, Liz essaie de charmer le psychiatre afin de dérober son carnet de rendez-vous... (Mission)

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Critiques (5)

POMO 

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français Alfred Hitchcock est en première place pour moi et j'aime beaucoup Brian De Palma. C'est précisément pourquoi je ne vais pas au-delà de 3 étoiles. Dressed to Kill ressemble formellement plus à Hitchcock lui-même qu'à Hitchcock, mais la tension et le choc y sont équilibrés avec une naïveté subtile et parfois un rire involontaire. Si De Palma le fait intentionnellement, dans l'idée de prendre du recul, alors cela enlève au film ce qui fait d'Hitchcock, Hitchcock, et pourquoi nous pourrions également aimer cet hommage à son maître. Si ce n'est pas intentionnel, c'est probablement dû à l'époque à laquelle le film a été réalisé. Et ici, nous arrivons à une autre fausse note de De Palma - les films d'Hitchcock ne vieillissent pas. ()

gudaulin 

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anglais I have no idea whether Brian De Palma intended his film as a tribute to Alfred Hitchcock's lifelong work or simply imitated his style in an attempt to achieve the same effect. If I wanted to be mean, I would say that it is a blatant plagiarism of Hitchcock's directing techniques, but the result can still be interpreted. In any case, the film strongly resembles Hitchcock's most successful works, both in good and bad ways. De Palma similarly doses tension, relentlessly builds up expectations, and delivers a hard, emotional blow at the right moment. Hitchcock's films usually relied on innovative direction, while the scripts often tended to be weaker. Dressed to Kill works in the same way. De Palma serves the audience several delicious scenes, and I join those who consider the clever long scene in the gallery as the film's premature climax, where De Palma skillfully manipulates the viewer's expectations and serves up a nymphomaniac and her potential killer. The problem lies in the plot twist, as even only slightly sharper viewers will understand it no later than in the third part of the film. Like many directors before him and after him, De Palma prefers visually striking scenes over logic. Nancy Allen looks beautiful, Brian De Palma had good taste in choosing his life partner, and as expected, Michael Caine carries the film by his presence. Overall impression: 65%. ()

D.Moore 

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anglais I'm seriously wavering between three and four stars - so I'll give it three and a half, which I'll round down. Dressed to Kill is a very solid example of what De Palma can do. For example, the long camera rides underlined by beautiful (this time Donaggio's) music. Furthermore, there is also the combining scenes that take your breath away (the opening shower, the gallery sequence) with scenes that are incredibly suspenseful (the best one takes place at the station and on the train). The weakest link in this whole erotic-thriller chain is probably the script. Not that it's predictable... But it's not a slam dunk either. At least it relies on reliable actors like Michael Caine, who simply does not disappoint.__P.S. The filmmakers could have done without the final 10 minutes. ()

claudel 

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français La première demi-heure était comme une sonde dans la vie d’une femme mariée tourmentée par des déboires amoureux, puis on s’embarque dans un policier bien foutu avec des éléments de thriller. Une jolie combinaison avec du suspense, une musique envoûtante et un scénario solide. ()

Remedy 

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anglais Since I have a rather superficial knowledge of Hitchcock's work so far, and haven't seen most of his best films, I can't objectively judge how much De Palma is copying him or to what extent this is a sympathetic homage or a distinctive variation. For me, what's important is that Dressed to Kill managed to captivate me with its narrative style, its beautiful musical theme, and now I finally know and see from whom Tarantino learned those split-screens and that kind of twisted filmmaking style as such (which I personally find very likable, though.)) ()