Résumés(1)

Fin des années 30. Lady Sarah Ashley, une aristocrate anglaise hautaine et renfermée, arrive au coeur des paysages sauvages du Nord de l'Australie pour y rejoindre son mari qu'elle soupçonne d'adultère, et qui tente - sans succès - de vendre l'immense domaine qu'ils possèdent sur place: Faraway Downs. Elle ne tarde pas à découvrir que l'exploitation est au bord de la ruine et menacée par son propre contremaître, Neil Fletcher, un homme sans scrupules de mèche avec un puissant éleveur, prêt à tout pour précipiter la chute du domaine et s'en emparer. Pour sauver Faraway Downs, Sarah n'a pas d'autre choix que de s'allier à un "cow-boy" local un peu rustre connu sous le seul nom de "Drover", et de parcourir avec lui des milliers de kilomètres à travers les terres aussi magnifiques qu'inhospitalières du pays afin de mener jusqu'à Darwin 1500 têtes de bétail.
Peu à peu transformée par la puissance et la beauté des paysages, touchée par la rencontre d'un jeune aborigène orphelin, Sarah découvre des sentiments qu'elle n'avait jamais éprouvés jusqu'alors. Au terme de leur périple, la seconde guerre mondiale a rattrapé l'Australie, et la ville de Darwin doit désormais faire face aux bombardements japonais. Pour la première fois de sa vie, Sarah sait pour qui et pour quoi se battre, et est prête à tout pour sauver ce qui compte désormais pour elle. (texte officiel du distributeur)

(plus)

Vidéo (4)

Bande-annonce 4

Critiques (10)

claudel 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Une bouse australienne colossale qui m’a désenchanté et profondément déçu en ce qui concerne Baz Luhrmann. Le scénario est pitoyable et tissé de clichés et de scènes bruyantes soulignées par le caractère peu sympathique de Nicole Kidman et la raideur de Hugh Jackman. J’ai passé trois heures ennuyeuses au cinéma en croupissant désespérément dans mon siège. S’agissant de l’Australie, les rôles principaux auraient dû aller à Naomi Watts et Russel Crowe. Par pitié, qu’on ne me montre plus jamais de film australien de trois heures où on court après du bétail sur la moitié du continent ! ()

POMO 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français La monstruosité de bonbons théâtralement affectée, qui décide toutes les demi-heures de ce qu'elle est réellement et compte sur le fait que la relation du couple central la tiendra ensemble, où elle est plus sèche que dans tout le désert australien. Je n'ai jamais autant souffert au cinéma et je ne peux pas croire que c'est Baz Luhrmann qui m'a causé cela, dont je suis amoureux de tout mon cœur son magnifique, émotionnel et parfaitement complexe Moulin Rouge!. Je donne seulement deux étoiles pour la poétique de la ligne avec un petit "caramel" et la seule scène vraiment belle du film (l'arrêt du bétail au-dessus du précipice). Un méga échec commercial mérité. ()

Annonces

Lima 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais In the first half, Luhrmann tells the story with gusto, passionately and fully applying his almost grotesque sense of humour (which I like and which his previous film, Moulin Rouge, was packed with), but when he arrives in Darwin midway through the film, he seems to wave a magic wand, and the narrative, full of life and the enchanting atmosphere of the Australian outback, becomes a game of playing with the audience's patience, where it's as if the filmmakers are trying to see what clichés and screenwriting gimmicks they can get away with. That cheesy ending is something that not even Danielle Steele, the queen of rosy books, would dare write. Still, I sense Luhrmann's sincere effort to pay homage to his beloved native Australia throughout the work, and so I can't entirely damn it. ()

DaViD´82 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais It begins like an unfunny, madcap comedy (all praise to those kangaroos), then it suddenly turns into rather a good adventure fantasy movie about hunters with magic and a nice amount of tongue in cheek, but then subsequently flops over into a remake of Pearl Harbor. Just even stupider and deadly serious into the bargain. At the end it becomes a politically correct appeal with at least seventeen ending acts. The cherry on the cake is the finale “gets out of boat and rifle shot" which easily wins the prize for sky-high dumbness in the movie theaters this year. Of course, you shed some tears while watching it, which certainly was the filmmakers’ aim, but I’m not so sure that they were meant to be tears of laughter. It’s all in a visual guise which, unlike Moulin Rouge!, doesn’t balance playfully on the line between kitsch and genius, but becomes puke-worthy digital kitsch of the third kind. The characters (not the actors - they do their very best to save things) are a parody of themselves, because for instance every ten minutes Sarah turns into a different character, thinking, acting and behaving completely differently to before. A movie about strength and the need to tell a story that doesn’t have a clue about how to tell a story is bound to fail. And it does. ()

J*A*S*M 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais Kitschy silliness that for two and a half hours smothers smart viewers in digital cattle, while pulling the more sensitive viewers by the nose with a stupid love story between an English lady and an Australian cowboy. Jackman is alright, Kidman is too vague at times, but the fundamental problem is, of course, the script. If told you that the twists are all predictable half an hour before they happen, I’d be lying, they are predictable already from the trailer, even before the film begins. Think about the most clichéd romance you can imagine, set it in Australia during WWII, add some bollocks about the importance of the art of storytelling (this is how ridiculous this movie sounds!) and you have Australia. ()

Photos (86)