Réalisation:
Robert ParrishScénario:
Judd BernardPhotographie:
Douglas SlocombeMusique:
Roy BuddActeurs·trices:
Michael Caine, Anthony Quinn, James Mason, Maurice Ronet, Catherine Rouvel, Alexandra Stewart, Marcel Bozzuffi, André Oumansky, Martine Kelly (plus)Résumés(1)
A tough U.S. embassy official in Paris is assigned to uncover and break a multi-million dollar narcotics ring, headed by a prominent politician. After several of his agents are killed, the embassay official crosses over the line, hiring a professional killer to do the job. (texte officiel du distributeur)
Critiques (3)
It’s like the English version of The French Connection. Both Quinn and Caine are excellent, the story is interesting and suspenseful, and the scenes like the car chase are flawless. Only the ending could have been more gripping. Very decent four stars. ()
Marseille contrat est un genre de réponse britannique à French Connection, à ceci près que le réalisme quasi documentaire de Friedkin a été remplacé par le côté ludique et ringard des polars cheap. Alors, je ne me plains pas et l'idée est géniale, mais quand même, l'exécution aurait pu avoir plus d'impact. Et puis, il est dommage que le film ne parvienne pas vraiment à raconter les lignes narratives de chacun des deux personnages principaux simultanément. En conséquence, pendant la première demi-heure, le film se consacre entièrement au personnage d'Anthony Quinn et, une fois que Michael Caine entre en scène, Quinn disparaît pratiquement de l'intrigue – et vice versa. Cela dit, j'apprécie le travail remarquable sur les extérieurs avec les villes françaises et la photographie de Douglas Slocombe pour sublimer ceux-ci. De nos jours, tout se ferait à l’écran vert. ()
Removing the smoothly quipping Anthony Quinn from the plot for a few dozen minutes or playing carnival music during a serpentine chase between a Porsche 911 and an Alfa Romeo Montreal—there are just three words I’d like to say to Robert Parrish about that. Thankfully, there’s a Michael Caine band-aid, delivering his suave assassin with typical elegance. As for activities stemming from the drug business in the capital of Provence, Frankenheimer and Popeye were much more thorough a year later. Oh, and the first word of those three is "Go." ()