Possession

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Bande-annonce 1

Résumés(1)

Rentrant d'un long voyage, Marc retrouve à Berlin sa femme Anna et son fils, Bob. Mais rapidement, il se rend compte que le comportement de sa femme a changé. Prise de violentes crises, elle quitte le domicile. L'amie du couple, Annie, révèle à Marc le nom de l'amant d'Anna, Heinrich. Lorsqu'elle disparaît, Marc engage un détective qui découvre bientôt qu'Anna s'est réfugiée dans une étrange demeure où semble se cacher une créature surgie des ténèbres. (Tamasa Distribution)

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Critiques (4)

J*A*S*M 

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anglais WOW! That was something! Personally, I would have welcomed less theatrical performances, though I understand that it’s actually those expressive acting methods what make Possession what it is. The plot, on the other hand, should be taken as some sort of metaphor, because, especially by the end, you’d be lost if you went for a straightforward understanding. I surely recommend it as an example of perfect movie madness. ()

lamps 

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anglais A difficult film; difficult for the director and actors, but also for the audience and their willingness to dig deep into their minds and listen to the bizarre-sounding song Andrzej Zulawski cheerfully sings to them. It's hard to just click the mouse and rate something so artistically sophisticated but at the same time uncomfortable and aloof due to its openness and complexity of thought. How do you rate a film that blends chilling mystery horror with a fairly realistic depiction of a family falling apart, where the characters often behave as if they fell out of a David Lynch dream, and where the story is constructed in such a way that, despite the normal chronological composition, the viewer still doesn't know which one is beating 10 minutes before the end? The answer is: unequivocally positive. No review can ever do justice to the precision and depressing effect of Zulawski's direction, the gloomy and perfectly underscoring music, the tireless camera circling hungrily around the room, and finally, the fabulous performances of Isabelle Adjani and Sam Neill, without whom something like this could never have been made. Possession is one of those films that I may never watch again, but I'm really, really glad to have successfully completed that one screening. To miss such an experience would have been a great shame. ()

Goldbeater 

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français Possession, c’est comme un couteau planté dans le cœur qu’Andrzej Żuławski tourne lentement dans la plaie. Ce film d’horreur multicouche joue avec la zone de confort du spectateur et pousse celui-ci dans les derniers retranchements de sa psyché comme aucun autre film ne le fait. Le jeu des acteurs Sam Neil et Isabelle Adjani est vraiment excentrique et oscille à la limite de l’effondrement psychologique. Żuławski nous montre une vision réellement glaciale et sale de la rupture relationnelle entre deux personnes pour en faire une œuvre coriace et marquante. Et la musique ! Je suis content d’avoir pu regarder Possession sur grand écran et avec les commentaires en direct de Sam Neil qui était présent dans la salle et revoyait le film après presque 40 années ; il s’est souvenu du tournage comme du moment le plus extrême de toute sa carrière. [Sitges 2019] ()

claudel 

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français Pour moi, Andrzej Żuławski fait partie des réalisateurs les plus singuliers. Je n’ai encore vu que deux de ses créations jusqu’à maintenant et toutes les deux étaient originales et inhabituelles. J’ai lu quelque part qu’en Pologne, l’accueil de ses films était chaque fois divisé et qu’il était considéré comme un réalisateur controversé. J’ai du mal à évaluer Possession. Même en y réfléchissant, je constate que je n’ai probablement pas totalement saisi le sens. D’après moi, il y a plusieurs interprétations possibles, dont certaines sont proposées ici dans les différents avis, mais j’ai l’impression que Żuławski est le seul à vraiment savoir. Isabelle Adjani est épatante et la scène dans le passage sous-terrain a de quoi marquer les esprits. ()