Pêche Humaine

  • États-Unis Blood Hook (plus)
Bande-annonce
États-Unis, 1986, 92 min (Coupe du réalisateur : 111 min)

Résumés(1)

Welcome to the “Muskie Madness” fishing tournament. The local yokels are going insane and five students on vacation are in way over their heads. Peter’s friend falls hook, line and sinker for the sexy tournament hostess. Meanwhile a crazed killer is using local jail bait as live bait. The murder weapon? An expertly cast barbed hook. The town sheriff won’t admit anything’s fishy, especially during the height of tourist season. Now it’s up to Peter to reel in the fiendish fisher-of-men…or become the catch of the day! (Troma Entertainment)

(plus)

Vidéo (1)

Bande-annonce

Critiques (2)

Goldbeater 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Je n’avais encore jamais vu de slasher se dérouler dans un milieu de pêcheurs, donc j’étais assez enthousiaste à l'annonce de cette comédie d’épouvante. Voir ça chez moi n’aurait probablement pas valu le coup, mais la traduction marrante du Festival du spectateur endurci apportait le petit plus nécessaire à ce film original. Il offre un spectacle assez incohérent avec une histoire relativement folle qui révèle la motivation de l’assassin  – ce qui en soi est une idée plutôt intéressante. Le film lui-même est loufoque et souvent illogique. Les personnages apparaissent et disparaissent au gré de l’imagination des scénaristes. Ils se comportent comme des débiles et, dans la deuxième partie, il y a carrément plusieurs moments totalement « WTF », notamment quand le héros principal décide tout d’un coup de postposer sa confrontation finale avec le meurtrier au lendemain et va se coucher (des fantaisies qu’on ne trouve que dans la version prolongée de 111 minutes, la version courte n’étant pas aussi amusante). Ce n’est pas non plus le délire du siècle, mais en tant que kitscherie farfelue sans prétention, ça se laisse voir. [FOD 2020] ()

Othello 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais It's hard to navigate a movie when "What the fuck is going on?!" is constantly going through your head throughout. With the live dubbing on this year's FOD, it was irresistible ("I can lend you a compass." "You're a compass."), but I'm afraid in any other setting it would have been unspeakable purgatory. Particularly with the insane one hundred and eleven minute director's cut, where the story itself is reduced to about 5% of the total running time, nothing can save you. ()

Annonces

Photos (25)