The Sweet Life

La plus grande faiblesse du film est clairement l'intrigue stupide, devant laquelle l'intelligence reste perplexe sur certains aspects. Un joueur de hockey viril se voit transplanter un cœur  de femme après une crise cardiaque, devenant ainsi naturellement plus empathique et commençant activement à s'intéresser au tricot et à la cuisson de confitures. Il tombe amoureux de la doctoresse qui lui a fait cette transplantation, mais commence également à fréquenter sa fille adulte. Il décide alors de découvrir l'identité de la donneuse de l'organe et déménage chez le mari veuf de celle-ci, pour que leur fille de six ans puisse écouter le cœur de sa maman dans sa poitrine. --- La transformation du personnage principal d'un macho sexiste en une figure sympathique pour le spectateur, est basée en grande partie sur le fait que l'implantation de l'organe d'une femme décédée renforce les aspects de sa personnalité que les créateurs du film considèrent comme typiquement féminins, et c' est assez grotesque. Heureusement, sa transformation de caractère n'est pas le thème principal du film, qui est une histoire d'amour maladroite et peu convaincante culminant dans l'une des séries de retournements les plus forcés de l'histoire des comédies tchèques. Le point positif est qu'il y a parfois de quoi rire et que la réalisation est au-dessus de la moyenne pour ce genre, en laissant de côté la musique complètement générique et parfois les erreurs de continuité entre les scènes. (13/03/2024)

J'ai un faible pour ces contes de vie avec des histoires père-fille, des amours oubliées, Jan Cina, des confitures et des marchés fermiers :-) (31/08/2024)

To start with, I have to say that there were a few situational jokes and I even laughed a few times. But that's where all the "positives" end and I have to conclude that The Sweet Life is just another piece of junk created on our Czech pond, we have been just floundering in place for several years now and our work is not going anywhere. I’m unable to understand how Czech child actors are incapable of saying a few lines without sounding like reading a poem of the highest degree of awkwardness, and I can’t understand how Czech directors don't have the eye to realize that some scenes (like that two-minute recapitulation of previous scenes in the film accompanied by a 10-year-old song by an unnamed singer from the Czech trash pop scene) are just blatantly sh*t. The actors can't act, they overact and can't be trusted with almost anything, all the dialogue is moronic over and over again, and it's beyond me that this crap even made it to post-production, let alone theaters. And I got talked into going to the cinema (for the second time in my life) to see a Czech film. The worst thing is is that the classic Czech boomer would rather go to see this than the multi-billion dollar Dune, which has crushed the cinema of the last 20 years. (16/03/2024)