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La vie de Parthénope de sa naissance dans les années 1950 à nos jours. Une épopée féminine dépourvue d’héroïsme mais éprise de liberté, de Naples, et d’amour. Les amours vraies, indicibles ou sans lendemain qui vous condamnent à la douleur mais qui vous font recommencer. Le parfait été à Capri d’une jeunesse insouciante malgré un horizon sans issue. Autour de Parthénope, les Napolitains. Scrutés, aimés, désillusionnés et pleins de vie, que l’on suit dans leurs dérives mélancoliques, leurs ironies tragiques et leurs moments de découragement. La vie peut être très longue, mémorable ou ordinaire. Le temps qui passe offre tout le répertoire des sentiments. Et là, au fond, proche et lointaine, cette ville indéfinissable, Naples, qui ensorcèle, enchante, hurle, rit et peut nous faire mal. (Cannes Film Festival)

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POMO 

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français La poésie visuelle de Sorrentino rend hommage à Naples et à la beauté féminine (comment faire autrement). Le premier tiers du film offre une belle présentation des personnages, parmi lesquels l’écrivain joué par Gary Oldman domine non seulement en termes d’interprétation, mais aussi de caractère. Par la suite, le film contient de plus en plus de fragments d’émotions dont le contexte et la signification dans l’intrigue m’échappent, ce qui diminue l’enthousiasme pour la forme de leur présentation. Qu’est-ce que ce personnage du prêtre laid du type « la belle et la bête » qui doigte Parthénope dans l’église était donc censé signifier ?? Deux étoiles et demie. [Festival de Cannes] ()