Coraline

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Coraline Jones est une fillette intrépide et douée d'une curiosité sans limites. Ses parents, qui ont tout juste emménagé avec elle dans une étrange maison, n'ont guère de temps à lui consacrer. Pour tromper son ennui, Coraline décide donc de jouer les exploratrices. Ouvrant une porte condamnée, elle pénètre dans un appartement identique au sien... mais où tout est différent. Dans cet Autre Monde, chaque chose lui paraît plus belle, plus colorée et plus attrayante. Son Autre Mère est pleinement disponible, son Autre Père prend la peine de lui mitonner des plats exquis, et même le Chat, si hautain dans la Vraie vie, daigne s'entretenir avec elle. Coraline est bien tentée d'élire domicile dans ce Monde merveilleux, qui répond à toutes ses attentes. Mais le rêve va très vite tourner au cauchemar. Prisonnière de l'Autre Mère, Coraline va devoir déployer des trésors de bravoure, d'imagination et de ténacité pour rentrer chez elle et sauver sa Vraie famille... (Universal International FR)

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Critiques (12)

claudel 

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français Je n'ai pas vu beaucoup de films d'animation ces dernières années. Même après tous les éloges dont ont bénéficié Shrek, Le Monde de Nemo et Cars, tout ça ne me disait rien. Je ne crois pas qu’après avoir vu Coraline, je changerai d’avis et rattraperai mon retard. J’ai toujours pensé qu’un conte, qu’il soit animé ou pas, devait contenir une leçon pour tout un chacun. Or, dans le cas de Coraline, on peut se poser des questions. Devait-elle respecter ses parents alors que ceux-ci ne lui accordent aucune attention et ne sont pas fichus de lui consacrer le moindre temps ? C’est normal qu’elle se soit laissée entraîner par la méchante sorcière, tout comme le serait n'importe quel autre enfant à sa place ! Mis à part l'histoire nulle, les visuels sont magnifiques. ()

DaViD´82 

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anglais Selick’s Caroline, sorry, Coraline lacks one thing. And that is the “button phobia" which, unlike in the book, never sets in. Maybe it’s because I don’t share Selick’s vision as a whole. It’s not nearly dark enough. There’s nobody quite like Dave McKean. This Coraline is an excellent animated movie, but nothing more. But the potential for more was here. ()

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Isherwood 

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anglais The film features an Alice theme, a script for a short at most, and Selick's eccentric fantasizing. After half an hour it simply doesn't do anything and comes ever closer to the desperate cry "Let something start happening, for God's sake!" Ironically, what I enjoyed the most was Dakota, who intones perfectly and literally "acts" in the vocal positions of a nasty brat, a scared little girl, and a brave girl. The rest of it was terrible and didn't even need the assistance of Tim Burton. ()

gudaulin 

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anglais One of the most interesting animated films of recent times, which is mainly based on the quality book by Neil Gaiman, currently one of the most interesting creators of alternative worlds. Coraline can satisfy both children, except perhaps the smallest ones, as it contains dark motifs and scary scenes, as well as adults, as it has a very clever story with interesting characters and a significant message, it is filmed dynamically, with a sense for visual art, and it almost deserves five stars. Paradoxically, in my eyes, it is harmed by what current animated blockbuster productions are based on, i.e., typical computer graphics, which makes it lack a certain exclusivity characteristic of classic drawing and animation. Overall impression: 85%. ()

Marigold 

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anglais A very pleasant island of stop motion imperfection in a sophisticated flood of silicon superhumans. Beautiful animation further enhanced by the 3rd dimension, very poetic decadent drollery and a very nice atmosphere. It's unfortunate that the musical accompaniment does not captivate as much as Elfman's songs once did. Coraline is more infantile than Burton's work and it doesn't have the sharp verbal humor, but despite all the plush, it is able bite nicely. I had a great time. [85%] ()

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