Les plus visionnés genres / types / origines

  • Drame
  • Comédie
  • Action
  • Policier
  • Horreur

Séries préférées (10)

24 heures chrono

24 heures chrono (2001)

La série la meilleure et la plus parfaite au monde ! Bien que je ne sois pas fan de TV Nova, le slogan publicitaire utilisé avant de passer le premier épisode était le bon. La meilleure série de tous les temps ! Kiefer Sutherland a attrapé un second souffle dans sa carrière et Jack Bauer est devenu un personnage immortel, un superagent. Et un grand avantage de cette série, c’est que plus on avance dans les saisons, plus c’est bon et palpitant. Les créateurs ont compris que pour maintenir une audience élevée, ils devaient inventer des intrigues toujours meilleures pleines de suspense et de retournements de situation. C’est juste dommage que beaucoup de personnages centraux meurent. Je ne nie pas le fait que l’action soit exagérée par moments, mais ce n’est tout de même qu’une série et comme on nous le dit toujours dans l’intro, le spectateur doit garder du recul ! :) J’ai hâte de regarder l’épisode 7, son lancement ayant été retardé pour cause de grève des scénaristes.

Bylo nás pět

Bylo nás pět (1994)

L’adaptation d’un livre au format télévisé la plus enjouée. Karel Poláček a réussi un tour de force ; c’est incroyable, étonnamment bien fait et envoûtant. Pour moi, Bylo nás pět (« Nous étions cinq ») est une série increvable que je peux me repasser en boucle sans me lasser. Karel Smyczek est vraiment admirable.

Sanitka

Sanitka (1984)

Tous les grands malins qui critiquent de la série « socialiste » Sanitka (« L’Ambulance ») peuvent aller se faire voir ! Pour moi, c’est l’une des meilleures séries tchèques pour de nombreuses raisons. Pour commencer, quelqu’un s’est intéressé au rôle ingrat de ces médecins et infirmiers. Puis, j’adore l’excellent jeu des acteurs Hanzlík, Vinklář, Bartoška, Řehoř et Kostka. Et les épisodes avec l’accident aérien, la recherche des châtaignes et le décès de Bartoška sont des coups de maître. Enfin, la chanson du milieu contient en elle-même tant de douleur, de tristesse et de mélancolie que tout être sensible ne peut qu’en être touché.

Skins

Skins (2007)

Mélancolie. Angoisse. Malaise. C’est par ce genre d’émotions que j’ai été pris pendant chaque épisode de cette fabuleuse série britannique. Oubliez les Beverly Hills, O.C. ou autres Melrose Place. Skins est unique dans la mesure où il n’offre pas au spectateur le spectacle d’étudiants tous plus beaux et plus riches les uns que les autres, vivant une vie réussie dans de luxueuses villas et tuant le temps par des aventures et comportements dévergondés. Tous les personnages sont réalistes et se confrontent à des problèmes similaires à ceux que peuvent rencontrer les spectateurs. Ça traite bien sûr de relations amoureuses, mais aussi de l’acceptation de sa sexualité, de l’amour, des déceptions, de contextes familiaux difficiles, de problèmes scolaires, de la recherche de soi-même. Un grand plus de cette série est la méthodologie totalement unique des producteurs qui accordent uniquement deux saisons à chaque génération de personnages, après quoi la distribution change du tout au tout, ce qui les distingue vraiment du reste des producteurs qui mettent l’accent sur la popularité des personnages. Beaucoup encensent juste la première génération, c’est-à-dire les saisons un et deux, mais moi, mon avis diffère. J’ai aimé les trois générations, chacune d’entre elles ayant son charme propre, bien que la bande à Tony, Sid et Michelle soit vraiment mémorable. Personnellement, j’ai préféré les personnages de la deuxième génération, en particulier Cook et Effie. Cook, on l’aime ou on le déteste, ou à la limite les deux, mais il ne peut laisser personne indifférent. Effie dégage un charme fou, mais également de la peine et de la tristesse. Dans la troisième génération, j’ai aimé Al pour la touche d’humour qu’il apporte au milieu de la tristesse ambiante. Je ne sais pas très bien comment les créateurs envisagent la suite, la septième saison étant axée sur le retour d’Effie, de Cook et de Cassie, mais cette fois avec leurs destinées ultérieures de personnes adultes. Si les créateurs ont voulu refermer la série, je comprends bien le choix de Cook et d’Effie. Mais Cassie ? Je ne vois pas pourquoi. Personnellement, je n’aurais pas été contre deux saisons de plus, dans lesquelles on aurait pu retrouver d’anciens personnages, notamment de la troisième génération.

Desperate Housewives

Desperate Housewives (2004)

Le mix entre le style policier et la comédie le plus réussi dans une série à ma connaissance. J’ai été happé dès le premier épisode de la saison un et mon intérêt n’a pas diminué au cours des huit saisons. J’ai sympathisé avec toute la bande des Desperate Housewives et de leurs partenaires à l’exception de Lynette Scavo, un personnage qui m’horripile et m’est hautement antipathique. Tous les autres personnages sont au top, jusqu'à la narratrice « Mary Alice ». J’ai été amusé en lisant dans un article que quand Desperate Housewives passait à la télé en Grande-Bretagne, les rues étaient désertes. Et pour cause  !

Misfits

Misfits (2009)

Au début, je me disais qu’il devait logiquement s’agir d’un genre de combinaison bizarre entre Heroes et Skins. Mais dès le deuxième épisode, le franc est tombé : Misfits n’est en fait comparable à rien d’autre ; c’est une série à part, totalement originale et dont le scénario a été soigneusement élaboré. J’applaudis des deux mains pour l’idée de créer une histoire avec cinq jeunes délinquants, de la situer dans un quartier glauque et de réussir à nous tenir en haleine et de nous faire sympathiser avec la bande des cinq. Jusque maintenant, je n’ai vu que la première saison, donc je laisse un peu de réserve pour une possible meilleure évaluation future. Les deuxième et troisième séries m'ont effectivement fait augmenter la note et mes éloges vont en s’amplifiant, car c’est tout simplement la série la plus originale qui ait été faite ! La troisième saison, en particulier, était pleine de surprises et a attisé ma curiosité, car je me demandais ce que les créateurs allaient encore pouvoir nous inventer. Nazis, zombies, changements de pouvoirs, bandes dessinées vivantes… Pour chaque idée géniale, il en vient une autre, puis encore une autre… Et même le fait d’avoir entendu dire qu’il y aurait des changements dans la distribution pour les saisons quatre et cinq ne calme pas mes ardeurs. Les fans de Skins sont habitués aux changements de casting dans les séries britanniques et voient ça comme un nouveau souffle. Après avoir regardé les saisons quatre et cinq, je maintiens la note maximum. Je ne vais pas faire une comparaison individuelle des personnages principaux, mais en gros, disons que les choses étaient différentes avec ceux-ci, sans perdre en qualité ni en quantité de surprises, peut-être même au contraire. Les deux derniers épisodes de la saison cinq étaient vraiment top et le tout s’est terminé en beauté, laissant par ailleurs entrevoir une légère possibilité de suite.

Damages

Damages (2007)

Enfin une série correcte basée dans le milieu juridique !!! Je suis complètement époustouflé par le scénario ingénieux et la brillante prestation des acteurs. Glenn Close est vraiment convaincante sous les traits de l’avocate Patty Hewes, Rose Byrne, dans le rôle d’Ellen Parsons, représente pour moi l’un des personnages de série les plus sympas qui soient et deux acteurs de séries chevronnés sont de la partie : Tate Donovan (le sympathique papa de Marissa dans Newport Beach) et Željko Ivanek, l’antagoniste de Jack Bauer de la première saison de 24 heures chrono, qui complémentent à merveille le duo d’actrices centrales. C’est le personnage de Ray Fiske que je trouve le plus tragique de toute la série. Un autre grand atout réside dans la représentation réaliste des personnages, aucun d’entre eux n’étant totalement positif ou négatif. Même l’angélique Ellen a ses côtés sombres, tout comme le « méchant » Arthur Frobisher peut se montrer généreux et humain. Étant donné que la série opère sur deux niveaux temporels ou plus, il demande une concentration élevée de la part du spectateur, ce dernier ne pouvant par ailleurs se permettre de ne rater aucun épisode. J’aime aussi beaucoup le générique de début et la musique qui l’accompagne. Je ne vois pas ce que je pourrais reprocher à cette série, donc je conclurai par : vivement la deuxième saison !