Critiques (2 065)
Les Biches (1968)
Du Chabrol en plein seulement dans les cinq dernières minutes, sinon le tout était décousu et lent, ponctué çà et là d’un dialogue ou d’un gag intelligent. Un film qu’on a oublié dans les deux jours.
L'Âge d'homme... maintenant ou jamais ! (2007)
Une comédie moyenne sur les déboires amoureux d’un trentenaire.
Stín smrtihlava (2012) (téléfilm)
Le policier tchèque classique pour un dimanche soir. Freimanová dans le rôle de la fliquette en chef est peu crédible, Vlach est fatigué et on retrouve l’omniprésente Bydžovská. Enfin, heureusement qu’il y avait le personnage de Drobný joué par l’excellent Blažek !
Time Out (2011)
Une variation sur Bonnie and Clyde dans le genre science-fiction et avec Robin des Bois et l'irascible inspecteur Javert.
Dream House (2011)
Un thriller dont la distribution est solide, sauf que le scénariste n’a pas réussi à bien faire fonctionner les retournements de situation et que ça prend totalement la tête. Et les bons acteurs ne peuvent rien y faire.
Je m'appelle Ki (2011)
Un sempiternel désespoir se dégageait tout au long du film et l’héroïne évoquait principalement en moi des sentiments négatifs. Idem pour son bambin qui n’arrêtait pas de s’énerver et de crier. Un film qui, en substance, ne parle de rien.
La Dame en noir (2012)
J’ai sursauté quelques fois et eu littéralement froid dans le dos à plusieurs reprises, mais en regard de certaines attentes, j’ai le regret de constater que ça ne vaut pas le livre. Le film respecte son modèle littéraire seulement en ce qui concerne la ligne de narration centrale, parfois en ajoutant ou en retirant quelque chose. Et puis surtout, je dirais qu’il a tendance à dramatiser inutilement la souffrance des villageois et de la femme de Ciarán Hinds. Même si le livre n’était pas excessivement effrayant, je trouve qu’il avait au moins le mérite de recréer l’ambiance cotonneuse de Londres et de la campagne anglaise et sa partie finale était magistralement écrite. Maintenant, il ne me reste plus qu’à compléter le tiercé avec la version scénique au théâtre Na Fidlovačce.
From Paris with Love (2010)
Un film d’action futile avec un Travolta à l’allure inhabituelle.
Expendables : Unité spéciale (2010)
Si j'avais vu ce film quand j'avais treize ans, j'aurais applaudi avec enthousiasme. Mais aujourd'hui, avec du recul et un peu de nostalgie, je le considère comme bof, même si j’ai du respect pour toutes ces stars de l’action des années quatre-vingt-dix et que je consacrerais volontiers mon temps libre à regarder cinq suites si elles venaient à être tournées !
Cinema Verite (2011) (téléfilm)
Une version plus sérieuse d’American voyeurs qui, à la différence de ce dernier, a quelque chose à prétendre. Et ça, ça ne marche pas du tout. Je ne remets néanmoins pas en question les talents de Lane, Robbins et Gandolfini.