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Fabietto grandit dans une famille napolitaine aisée qui aime dépenser. Lui ne jure que par le club de foot SSC Napoli et explose d’enthousiasme lorsque le club enrôle Diego Armando Maradona, la star de l’époque. Alors qu’il assiste à un match, sa famille est victime d’un tragique coup du sort, décidant le jeune homme à devenir réalisateur. Dans son film le plus intime et le plus personnel jusqu’ici, le grand cinéaste Paolo Sorrentino raconte, via son alter ego Fabietto, sa jeunesse dans le Naples des années 80, là où sa carrière a démarré. The Hand of God est un film initiatique à l’esprit tout italien et une déclaration d’amour à la ville de Naples, au football et à la vie. (Zurich Film Festival)

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Critiques (2)

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POMO 

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français L’histoire autobiographique d’un jeune Sorrentino ? Un beau film sur le passage à l’âge adulte et sur l’effet d’une terrible tragédie familiale sur l’adolescence d’un jeune homme. Dans la première moitié, même les querelles et les frictions entre les personnages sont allégées par un humour typiquement italien, et le film offre une vision sympathique d’une famille de banquiers napolitains avec des personnages et des moments drôles. La seconde partie du film capture avec justesse le vide et les tâtonnements d’un adolescent contraint à l’indépendance, sans le soutien et l’amour de ses parents. Sorrentino avec une histoire clairement compréhensible, sans fioritures métaphoriques ni excentricités visuelles. Mais aussi avec une histoire cinématographique globalement éculée. ()

Marigold 

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anglais The best Sorrentino in years, probably since The Consequences of Love. Finally shaking off the chubby Roman pathos of The Great Beauty and the masturbatory excesses of Youth, he serves up his unmistakable Napoleonic diet poetic style. The fewer great words that are spoken, the greater things that God's hand touches. The more modest the images here, the more moving they are. The first half is a crackling family comedy with many memorable moments, whilst the second half is a much heavier drama about the impossibility of accepting the loss of loved ones and film as a refuge where we find shreds of lost happiness. Life is sometimes like a cruise to a party island, but where everyone has already gone to sleep... The Maradona of European cinema scores a good one. ()