Résumés(1)

« Depuis 1950, je n'ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. Certains jours, je tournais dix plans, d'autres jours dix secondes, d'autres dix minutes, ou bien je ne tournais rien... Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l'ordre chronologique… » C’est ainsi que Jonas Mekas présente son « film-journal » également manifeste esthétique du cinéma « underground » américain et autoportrait en négatif du cinéaste à travers des scènes de sa vie et de celle de ses proches. (LaCinetek)

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