Les Hirondelles de Kaboul

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Été 1998, Kaboul en ruines est occupée par les talibans. Mohsen et Zunaira sont jeunes, ils s’aiment profondément. En dépit de la violence et la misère quotidiennes, ils veulent croire en l’avenir. Un geste insensé de Mohsen va faire basculer leurs vies. (Memento Films Distribution)

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Critiques (3)

Ivi06 

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français Les Hirondelles de Kaboul dépeint les injustices et les horreurs commises sous le régime des talibans, ainsi que la façon dont une personne se comporte et change lorsqu’elle est confrontée à un tel mouvement et influencée par de telles circonstances. L’histoire tourne autour de deux couples. Le gardien de prison Atiq et son épouse mourante Mussarat représentent une mentalité dépassée ainsi que le conformisme. À l’inverse, le jeune couple formé par Mohsen et Zunaira représente la jeunesse, le courage, le désir d’un changement pour le mieux et l’aspiration à la liberté. D’où la belle symbolique des hirondelles. Mais dans un monde si cruel, « aucun soleil ne résiste à la nuit » et personne n’est totalement irréprochable, ce qui déclenche l’intrigue principale du film. Même les âmes pures peuvent parfois se perdre, et à l’inverse, celles qui sont perdues peuvent être retrouvées. L’animation à l’aquarelle sert magnifiquement bien le film. Elle n’enlève rien à la cruauté ou à la gravité des événements, mais adoucit tout ce qui serait trop dur à voir dans un film en prises de vues réelles. ()

angel74 

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anglais A touching story from rugged Afghanistan, bound by traditions and plagued by constant armed conflicts, where swallows presumably symbolize the longed-for freedom. I was very unpleasantly surprised to find that even the eye-pleasing water color animation could not mitigate the monstrosity of some of the human acts shown here. (85%) ()

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JFL 

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anglais The animation in Les Hirondelles de Kaboul is used in a completely non-conceptual manner solely as superficial gilding without visual ideas or poetics. With its shallow appeal and watercolour blurriness, it further trivialises the entire narrative. In so doing, it directly points out the superficial, calculated nature of the film, which relies on toothless melodrama and a festival-gratifying theme. I can’t tell if it’s a deviation of the adaptation or if it was already present in the original source work, but Les Hirondelles de Kaboul is not a pleasant surprise with its optics and story. Instead of the anticipated narrative about the fate of women in a society controlled by the Taliban, the story crystallises into an absurd, whinging melodrama about a guy who gripes about the Taliban, or rather one of its capos, because he can’t enjoy a romance with a woman he has a crush on because he saw her without her burqa. Women are depicted here as either selfless wives with a romantic understanding for the protagonist’s philandering thoughts or as ethereal beauties representing absurd conservative variations of manic pixie dream girls. ()

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