La Rage

Résumés(1)

La Rabbia employs documentary footage (from the 1950's) and an accompanying commentary to attempt to answer the existential question: Why are our lives characterized by discontent, anguish, and fear? The film is in two completely separate parts, and the directors of these respective sections, left-wing Pier Paolo Pasolini and conservative Giovanni Guareschi, offer the viewer contrasting analyses of and prescriptions for modern society. (texte officiel du distributeur)

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Critiques (2)

Dionysos 

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français Je reconnais que les commentaires de Pasolini (= versets) peuvent sembler pathétiques, subjectifs et gauchistes à quelqu'un, mais finalement, ils semblent plus sincères et plus profondément ressentis et réfléchis que les opinions de Guareschi. Et je ne veux en aucun cas me pencher sur les caractères des deux artistes et accuser Guareschi de malhonnêteté ou de fausseté délibérée. L'essentiel réside dans le fait que l'auteur de Don Camillo transmet ses opinions sans clarification claire et sans admettre sa propre position idéologique (probablement basée sur le conservatisme). C'est pourquoi, lorsqu'il parle de liberté (les émigrants de Berlin Est fuient vers "la liberté" à travers le mur), il présente sa conception de la liberté comme une forme objective de liberté pour tous les êtres humains. Et ainsi, il devient un "idéologue" tout aussi non objectif que Pasolini, comme il l'est dès les premiers instants du film, et nous ne devrions pas nous laisser tromper par son sarcasme sélectif et son détachement (l'ironie n'est-elle tournée que contre les autres ?). Il y a cependant une différence essentielle - Pasolini se l'avoue dès le début, il réfléchit à sa position idéologique et son dialogue avec nous est donc plus sincère dès le départ. Il nous suffit ensuite de nous laisser convaincre par la profondeur de sa perception du cours du monde, teintée indéniablement subjectivement, mais aussi plus humaine et plus véridique. ()

gudaulin 

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anglais The first part, edited and made by Pier Pasolini, gives off, as the director himself acknowledges at the beginning, a considerably chaotic impression, and indeed getting to the essence of the documentary is truly a tough nut to crack. Furthermore, his testimony is strongly influenced by a radically leftist perspective on the world and, in particular, his assessment of the Soviet Union, and the "liberation" of Soviet workers unintentionally seems ridiculous today. With even minimal critical source selection, his testimony would necessarily be different. The second part by Giovanni Guareschi is politically tendentious from the opposite positions, but as a documentary, it is much more cohesive and does not suffer from such lyrical commentary. Unfortunately, the documentary is characterized by a low quality of material, which undoubtedly relates to the processing of older film materials. Overall impression: 50%. ()

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