Twin Peaks - Série 2

(saison)
Drame / Mystère
États-Unis, (1990–1991), 17 h 53 min (Durée : 46–93 min)

Artistes:

Mark Frost, David Lynch

Photographie:

Frank Byers

Acteurs·trices:

Kyle MacLachlan, Michael Ontkean, Mädchen Amick, Dana Ashbrook, Richard Beymer, Lara Flynn Boyle, Sherilyn Fenn, Warren Frost, Peggy Lipton (plus)
(autres professions)

Épisodes(22)

Résumés(1)

L'agent spécial du FBI Dale Cooper a effleuré bien des mystères de la petite ville de Twin Peaks mais il recherche encore qui est le meurtrier de la jeune Laura Palmer. Le très puissant Ben Horne dirige aussi une maison très spéciale, le "Jack n'a qu'un oeil" où, à son insu, sa fille a été engagée. Mais le tueur va faire une nouvelle victime et il faudra à Cooper un peu de magie (et l'aide de son supérieur, Gordon Cole) pour découvrir son identité. Certains dispatus vont ressurgir et d'autres habitants vont sombrer dans la folie... (TF1 Vidéo)

(plus)

Critiques (2)

gudaulin 

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anglais The second season of Twin Peaks actually started as good as the first, but the 4 stars I'm giving it are actually a compromise. i.e., the result of a process in which I slowly but surely distanced myself from the series in its second half, starting from my initial enthusiasm. Lynch couldn't keep his eccentricity and love for the fantastic in check. Step by step, the surreal elements and trips to another dimension were multiplied. The delicate balance that held the world of Twin Peaks together was disrupted. It was absurd and unsettling from the very beginning - after all, that was the reason why I loved the series. But too much of a good thing is too much, and the last and quite insane episode brought the realization that I as a viewer, and Lynch as the creator, were heading in different directions. Overall impression: 75%. ()

Goldbeater 

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français On retrouve le cachet particulier et l’extension de la riche mythologie qui avaient fait le succès de la première saison. Les personnages d’origine rencontrent des situations toujours plus cocasses et se voient rejoints par toute une série de nouveaux protagonistes. Le nombre accru d’épisodes signifie également de nouveaux réalisateurs et styles de création ; avec, en plus, la touche des producteurs, le tout attrape une certaine patine. Et quand, dans la partie finale, vous vous dites que ça commence à sentir un peu trop le format télé, David Lynch revient au front et nous sert un dernier épisode – littéralement – détonnant, canardé de personnages et de motifs en tous genres jusqu’à en avoir le tournis. Vous ne pouvez pas imaginer ma frustration quand j’ai vu ce dernier volet et que la troisième saison n’existait pas encore et se faisait attendre de façon interminable ! ()