Douleur et gloire

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Bande-annonce 7

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Douleur et Gloire raconte une série de retrouvailles après plusieurs décennies, certaines en chair et en os, d’autres par le souvenir, dans la vie d’un réalisateur en souffrance. Premières amours, les suivantes, la mère, la mort, des acteurs avec qui il a travaillé, les années 60, les années 80 et le présent. L’impossibilité de séparer création et vie privée. Et le vide, l’insondable vide face à l’incapacité de continuer à tourner. (Pathé Films)

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Bande-annonce 7

Critiques (5)

Ivi06 

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français La santé de Salvator Mallo ne lui permet plus d’occuper le fauteuil du réalisateur, mais il reste tout de même créatif. Dans ses souvenirs, il revient à son enfance et se rappelle sa mère décédée. Bien qu’il soit tourmenté par de nombreuses douleurs physiques et qu’il ait dû dire adieux à beaucoup de ses proches, il souffre de cette perte plus qu’il ne peut l’admettre. Que ce soit dans ses souvenirs, dans ses œuvres ou dans la vie réelle, Mallo revient aux personnes qui signifiaient quelque chose pour lui. Ce sont ces scènes qui sont les plus intimes, les plus émouvantes, et qui donnent au film une délicatesse peu commune. Il faut également souligner le décor, le jeu avec les couleurs et la façon dont Almodóvar les incorpore à chaque plan : de l’effet de dessins aquatiques dans le générique de début du film, aux vêtements colorés et tachetés, en passant par les différentes mosaïques (une mosaïque de piscine bleue semblable à des petits carreaux de cuisine). Dans l’ensemble, il s’agit d’une caresse visuelle et émotionnelle pour l’âme, avec une fin plutôt surprenante. ()

POMO 

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français Trop typique d'Almodóvar pour moi, plutôt destiné à ses admirateurs. Le personnage physiquement souffrant de Banderas, réalisateur à la retraite, se souvient de son enfance avec sa mère Penelope (la partie la plus belle et la plus poétique du film) et de la rencontre avec des personnes importantes dans sa vie ultérieure. De manière typiquement Almodóvarienne, joliment coloré et découpé en tranches d'émotions autobiographiques, un autre rôle intéressant pour Antonio, mais cela m'a laissé indifférent. Malgré l’idée que la plus belle chose dans la vie, ce sont les films. [Cannes] ()

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angel74 

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anglais Good old Pedro Almodóvar tells a melancholic tale that could be based largely on his personal memories and experiences. That's how believable I find Pain and Glory. The casting of Antonio Banderas in the lead role was also very useful. It is a calmly flowing film with strong emotional moments that will be appreciated especially by those who have experienced something in life. Slowly but surely I am becoming one of them. (85%) ()

Malarkey 

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anglais Lately, I’ve got a feeling that when I watch a new film by Pedro Almodóvar, I’ve already seen it before. I wonder if it’s a sign of creative recycling. Antonio Banderas is not bad here, but the whole film is rather average, not really about art but about Pedro’s extravaganza and his need to express himself by filmmaking once in a while so that he can let us alone for some time after that. And because he’s a national artist, Penélope and Antonio are still willing to help him out with that. ()

NinadeL 

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anglais The beautiful thing about Almodóvar is that he makes his films as a loose auteur series. And if he's working with Antonio Banderas and Penélope Cruz again, it's like reuniting with old friends. Thus, the basic comfort feeling is guaranteed. Everything else is secondary and yet again great, autobiographical, full of nostalgia, memories, film sets... There is no shortage of unexpected love. I'm satisfied. ()

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