Maniac

  • États-Unis Maniac
Bande-annonce 1

Résumés(1)

Frank Zito est un homme tourmenté. Victime d'une mère abusive durant son enfance, il a gardé depuis lors un complexe vis-à-vis des femmes. La nuit, il erre dans les quartiers chauds de New York et, dès que l'occasion se présente, tue sauvagement ses proies. Chaque fois, il scalpe la fille ayant eu la malchance de croiser sa route et ramène le trophée chez lui, pour le placer sur la tête d'un des mannequins décorant sa chambre. Toutes les femmes susceptibles d'éloigner Frank Zito de sa mère doivent mourir… Et elles sont nombreuses. Jusqu'au jour où il rencontre, Anna, une photographe. (Le Chat qui Fume)

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Critiques (2)

POMO 

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français Le cousin de la famille Opus, comme dans "Vrah Rosemary" (1981) ou "The Toolbox Murders" (1978) - c'est-à-dire un slasher brutal et sanglant, se délectant perversément des homicides les plus brutaux possibles sur des victimes choisies au hasard. Le film est centré sur le tueur, avec un aperçu de son esprit à travers ses ronflements incessants... ehm. Une scène impressionnante (saut sur une voiture avec un fusil à pompe), une scène excitante (les toilettes du métro) et une fin inattendue et étonnamment bonne - voilà ce qui fait relever ce désordre de série B à 2 étoiles. ()

J*A*S*M 

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anglais Straight psychological slasher (those words don’t go very well together, but I don’t know how else to describe it) with a great Joe Spinell in the main role. The murder scenes are good, and two of them are actually excellent, it’s a shame that they aren’t supported by a better story, but let’s not kid ourselves: the psychology is good, the story not so. Without any doubt, the atmosphere reaches its peak with the toilet scene, I almost couldn’t breathe because of the tension; if the entire film was like that, it would be among my top favourite. 70% and I’m rounding up to four stars because of the poster, it’s really great. ()