Résumés(1)
Granted exclusive access to hundreds of private drawings and paintings by Orson Welles, filmmaker Mark Cousins dives deep into the visual world of this legendary director and actor, to reveal a portrait of the artist as he’s never been seen before – through his own eyes, sketched with his own hand, painted with his own brush. Executive produced by Michael Moore, The Eyes of Orson Welles brings vividly to life the passions, politics and power of this 20th-century showman, and explores how the genius of Welles still resonates today in the age of Trump, more than 30 years after his death. (Cannes Film Festival)
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Critiques (1)
Mark Cousins a conçu ce film de façon peu orthodoxe. Il s’agit d’une lettre ouverte à Orson Welles dans laquelle il lui adresse maintes fois la parole, lui posant des questions et tentant, à tout prix, de pénétrer l’âme du maître – tantôt habilement, tantôt maladroitement, voire sur un ton présomptueux. Orson Welles se met ensuite à lui répondre directement au cours du film. Ce concept est à la fois le pilier et le talon d’Achille. Oui, c’est une vision très subjective de la vie du célèbre réalisateur (à travers ses dessins et croquis, mais ça, c’est secondaire). Par contre, le gestevisant à déployer une surabondance d’efforts pour contempler l’âme d’un être humain aussi complexe qu’Orson Welles bafoue malheureusement les faits généralement acceptés qu’un documentaire aborderait et qu’on ne demande qu’à apprendre. De plus, la réponse de Welles n’est autre qu’un complément vain et non fondé que l’auteur a mis au point dans le but de finaliser son concept avec cohérence – et humour, surtout. Le tout s’étale sur près de deux heures, ce qui est beaucoup trop long pour ce genre de réflexion subjective. [KVIFF 2018]
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