White Paradise

  • Tchécoslovaquie Bílý ráj
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The heroine of this social melodrama, set in a desolate region “where people were born with solitude in their hearts”, is the naive orphan Nina, who stumbles upon an escaped prisoner intent on seeing his dying mother one last time. With its classic story and advanced technical quality, this low-budget picture was a hit with audiences both at home and abroad. (Karlovy Vary International Film Festival)

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Goldbeater 

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français Karel Lamač nous a pondu un mélodrame simple et naïf, mais réalisé avec précision, dans lequel il va jusqu’à jouer le rôle principal. Le regarder aux côtés d’Anna Ondráková est un vrai plaisir et je suis content d’avoir pu voir ce film au grand écran dans le cadre du festival de Karlovy Vary (malheureusement, avec un accompagnement musical très douteux). La banalité de l’intrigue est compensée par le remarquable jeu des acteurs principaux et la réalisation inventive et palpitante de Karel Lamač. Nombre de scènes sont un régal pour les yeux (ma préférée étant celle du château de verre ainsi que l’utilisation de son thème tout au long de l’histoire). Regarder ce genre de conte de fées légèrement naïf ne fait pas de tort une fois de temps en temps. [KVIFF 2018] ()

D.Moore 

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anglais A pleasantly elaborate film, which the creators obviously cared about. The masterfully told story and charm of Anna Ondráková cannot be spoiled by the few somewhat naive, but in a way very magical scenes. I really liked the end with the Rovensko Puppet Theater and the whole idea that has been winding through White Paradise since the demolition of the glass castle. ()

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