Les Trois visages de la peur
Les Trois visages de la peur
I tre volti della paura
Réalisation:
Mario BavaPhotographie:
Mario BavaActeurs·trices:
Michèle Mercier, Boris Karloff, Mark Damon, Susy Andersen, Harriet Medin, Jacqueline Pierreux, Lidia Alfonsi, Glauco Onorato, Rika Dialina (plus)VOD (1)
Résumés(1)
Trois histoires : «Le Téléphone». Rosy, une prostituée, décroche le téléphone. Au bout du fil, une voix mystérieuse lui annonce qu'elle va bientôt mourir. Les appels se succèdent et Rosy, désemparée, ne sait pas si elle doit croire les dires de cette voix d'outre-tombe. «Les Wurdalaks». Vladimir d'Urfe, un voyageur, parcourt à cheval une campagne slave d'un autre siècle. Il tombe sur le cadavre d'un homme, le coeur transpercé par une épée. «La Goutte d'eau». Miss Chester, une infirmière, est appelée en pleine nuit dans la demeure d'une malade qui vient de mourir. Alors que l'orage gronde, elle fait la toilette de la défunte et lui subtilise la bague qu'elle a au doigt... (Théâtre du Temple)
(plus)Critiques (2)
I’ve never been a fan of anthology films, and it seems that this is not about to change. Black Sabbath consists of one average psycho-thriller, one quite good Hammer-like gothic horror (but I’m not a big fan of it) and one average ghost story. Nothing that would be a must-see.
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Ebert's idiot plot concept (no plot development at all would occur if the characters weren't acting like idiots) perfected to virtual perfection in all the tales. However, the last tale ("The Drop of Water") unexpectedly turns out to be a genuinely creepy affair, even with a touch of directorial invention (a dead woman's house covered with cats and dolls), which with the help of classic genre proprieties (lights going out, dripping water, a rocking chair, and one rather gruesome corpse) manages to evoke the most classic sense of dread, for which I'm grateful to Bava. Oh, and the self-depreciating last shot was also quite pleasing.
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