Résumés(1)

The main protagonist of Radek Bajgar's black comedy, Marie (Iva Janžurová), is a retired teacher who decides she doesn't want to feel like an idiot anymore. When even the mayor (Tatiana Vilhelmová) doesn't help her against the instigator of local evil (Martin Hofmann), she gets a gun. But she soon realizes that murder is complicated not only morally, but also practically... (Finále Plzeň)

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Critiques (6)

Malarkey 

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anglais I admit expecting something better. Much better. Like this, I don’t even know what I’ve just watched. A comedy? A drama? Martin Hofmann plays himself, which is great. Pavel Liška also plays himself, which is also great. The girls are here to provide some emotion, which is also fine, but the result? The screenplay is nuts. It was too dramatic in places, so I kept losing track of when I was supposed to laugh and when not. ()

NinadeL 

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anglais A situational comedy? A black comedy? An idea for an undergraduate short story? Radek Bajgar seems to like dealing with unreal situations in a typically Czech environment. His series work also refers to crazy normalization comedies and if in his feature project the focus is once again on the iconic face of Iva Janžurová, then that’s it. As a subject for a small TV movie, perhaps Shotgun Justice could have shone, but this is an unnecessary elevation of a banality to a feature film. ()

Filmmaniak 

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français Une comédie noire très déséquilibrée, réalisée plutôt comme un drame social sérieux, où le niveau réaliste du drame se heurte au niveau comique dans un désaccord disharmonieux, et où les deux s'annulent mutuellement au lieu de travailler ensemble et de se compléter. L'ironie comique est la seule chose qui sauve le film d'être accusé de promouvoir l'utilisation d'armes à feu en célébrant le personnage d'une ancienne enseignante transformée en une sorte de guerrière de justice presque westernienne, qui décide de protéger un village de chalets contre un mafieux malveillant avec un fusil illégalement acquis. L'intention des créateurs n'était évidemment pas d'encourager les gens à prendre un fusil contre quiconque se met en travers de leur chemin, mais ils présentent en même temps toutes les solutions non violentes comme inefficaces, laissant ainsi un goût amer quant à l'absence de solution pour tous ceux qui se retrouvent sous le joug injuste de dirigeants insensibles ou corrompus. Même en tant que comédie délirante détachée de la réalité sur une retraitée prenant sa revanche (ce qui n'est vraiment pas le cas ici), Teroristka est un film léger et peu intense. Entre autres choses, l'héroïne principale n'a même pas bien planifié sa tentative de meurtre - le film se concentre en effet sur le fait qu'elle est une fragile femme âgée qui n'a jamais tenu une arme de sa vie, et elle ne fait pas du tout attention à son environnement et son plan d'assassinat est amateur et négligent, ce qui fait que le point culminant du film ressemble davantage à une cuisson à l'eau improvisée et prudente. En même temps, il s'agit d'un film où les femmes subissent constamment du chantage sexuel, et où une punition suffisante pour la mort d'un chien est un coup dans l'entrejambe. La plupart des spectateurs ne creuseront probablement pas cela, se satisfaisant du fait qu'Iva Janžurová joue bien et riant de la façon dont elle vise les gens avec un fusil qu'elle sort de son sac de courses à roulettes, accompagné d'un moule à gâteau. ()

Stanislaus 

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anglais Shotgun Justice impresses especially with its black-humoured atmosphere and unpredictable script. The whole film is dominated (in more than one sense) by the seasoned Iva Janžurová, an Actress with capital A whose character decides in her old age to take justice into her own (slightly trembling) hands, whatever the cost. But the other members of the cast also give convincing performances, from the arch-nemesis Martin Hofmann, to the promiscous Tatiana Vilhelmová, to the deathly ill and scary-looking Eva Holubová. The film's highlight was definitely the confrontation between Maria and Mach, followed by the inevitable ending. In the final act, I couldn't help but notice the unmistakable resemblance to Keeping Mum – Janžurová is the Czech Maggie Smith. ()

claudel 

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français Le choix du thème est bon, mais on ne peut pas en dire autant pour l’exécution. On est face à un pseudowestern tchèque boiteux qui, dans son dénouement, s'enfonce dans une mascarade tragicomique. Et non, je ne fais pas partie de ceux qui ont besoin de voir Iva Janžurová en train d’apprendre à tirer avec des armes diverses et suivre un entraînement physique. Cela dit, on notera la façon dont Radek Bajgar a réussi, à l’instar de François Ozon avec la légendaire Catherine Deneuve et au plus grand plaisir de tous, à faire enfiler une tenue de jogging à Iva Janžurová. Martin Hofmann est excellent comme toujours et, grâce à Most!, sera cette fois reconnu par beaucoup. Kristína Svarinská est incroyablement sexy et les autres sont fidèles à eux-mêmes. C’est plus fort que moi, mais à mon avis, le meilleur atout de ce film, c’est ses touches musicales de style western. ()

angel74 

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anglais Radek Bajgar can skate incredibly well on thin ice. In Theory of Tiger, he brought it to near perfection, and Shotgun Justice isn't far behind. I stare in disbelief at the low ratings here. In my opinion, this black exaggeration, imbued with irony, hit the nail on the head and that is not usual in the Czech Republic. It has its flaws, but what dramedy doesn't? The somewhat lengthy start is richly compensated by the escalating second half of the film, supported by a fitting musical score. Iva Janžurová is absolutely outstanding in the lead role and the other actors second her wonderfully. A pretty decent achievement by Czech standards. (70%) ()