Saint-Tropez interdit

"Monsieur le Commissaire Principal, vous avez été le témoin, le senceur et peut-être le bras séculier de la répression c'est-à-dire un Commissaire de Police Principal pendant une partie de votre carrière à Saint-Tropez. Dans cette ville dont on a dit et redit qu'elle était "Sodome et Gomorrhe", le symbole de tous les péchés et de tous les vices... Il est vrai que dans ce lieu privilégié... même un Commissaire de Police a tendance à réviser ses notions du bien et du mal, et qu'un manichéisme simpliste est difficile à appliquer car les motivations de ces fantastiques afflux d'hommes et de femmes de tous les pays, pendant deux mois, ne se produit que parce que ce manichéisme n'a plus cours à Saint-Tropez et que la frontière entre le bien et le mal, le vice et la vertu, y est très fragile. Il y a bien s r des règles à appliquer, le respect du droit pur, mais j'avoue que dans certaines circonstances, cela n'est pas simple, et je vais vous expliquer pourquoi. A travers certains faits que j'ai eu à connaitre et que je vais vous conter. Oui, c'est ça Commissaire, parlez-moi des "partouzes"... des "fêtes", des "orgies"... parlez de la drogue..." (Cyrile Distribution)