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Tale (17) leads a theatre group of teenagers, who are planning to set up a play by the famous Norwegian writer Jon Fosse. A professional actor, in the middle of a life crisis, agrees to direct them. With certain conditions. He decides to cast the local hero, a great soccer player and a fucking moron, as the main male actor. The group soon discovers that the director's ambitions make the teenagers' lives a living hell. (Severská filmová zima)

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claudel 

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français Défi ciné 2018 : la Norvège. Un vrai film nordique, incroyablement attendrissant, délicat et débordant de mélancolie. Mais pendant tout le film, je me demandais quel était en fait le public cible – pas moi, en tout cas. Je crois cependant que seuls nous, les gens d’un certain âge, qui sommes capables de nous laisser emporter par une vague mélancolique et des réminiscences diverses, agréables ou désagréables, pouvons vraiment apprécier le charme de ce film. J’ai du mal à imaginer un adolescent prendre plaisir à regarder un film sur des adolescents qui répètent une pièce de Jon Fosse en nynorsk. Pour ma part, je suis enchanté, car je ne me rendais pas compte qu’en Norvège sévissait un genre d’Ibsen des temps modernes et je me suis rappelé que le norvégien avait deux formes et que la moins répandue était le nynorsk. Je dois également souligner qu’Eili Harboe est vraiment belle en plus d’être une actrice de talent. En plus, je vois qu’elle a joué dans le thriller bizarre Thelma, ce qui me donne une raison de plus pour le regarder. On peut dire que mon défi personnel a démarré sur les chapeaux de roues ! ()

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