The Salvation

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1870, Amérique. Lorsque John tue le meurtrier de sa famille, il déclenche la fureur du chef de gang, Delarue. Trahi par sa communauté, lâche et corrompue, le paisible pionnier doit alors traquer seul les hors-la-loi. (Jour2fête)

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Critiques (8)

claudel 

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français Défi cinéma en situation de confinement – actrices préférées : Eva Green. Tout récemment, je discutais avec un ami du fait que le genre western avait été l'un des plus négligés ces dernières années – si pas le plus négligé de tous –, que les cinémas n’étaient pas inondés par ce genre, contrairement, par exemple, à la science-fiction, au fantastique ou à la romance à l’eau de rose. Cet état de fait m’a permis d’apprécier d'autant plus cette délicatesse danoise. Après tout, quel autre pays que le Danemark, qui a l’art de produire du cinéma de qualité quel que soit le genre, aurait pu le faire ? Enfin, n’oublions pas quand même qu'il s'agit d'une coproduction, donc pas d'une affaire purement danoise. Ah oui, et mon actrice préférée, là-dedans ? Certes, l'intrigue ne tourne pas autour d'elle et de son personnage, Mads Mikkelsen ou plutôt Jeffrey Dean Morgan (excellent !) occupant l’avant-scène, mais quelle autre actrice pouvait jouer le personnage de la princesse dans un tel contexte ? Il n’y a qu’Eva pour ça ! Et puis, au moins, j'ai eu le privilège de la voir habillée (ce qui est inhabituel) et peu locace, tirant le meilleur parti de ses yeux pour jouer son personnage. Quelqu'un m’a conseillé un jour de suivre les yeux des acteurs à l’écran, car la manière d’utiliser le regard permet de distinguer les pros des amateurs. Eva, elle, joue toujours en première ligue. Et pour moi, elle reste encore l'une des rares voire la seule actrice à répondre au concept de beauté perverse… ()

POMO 

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français Honnêtement, je m'attendais à quelque chose de plus profond de la part des Danois qu'une simple vengeance armée avec une caméra tournant à la manière de Bay et des panoramas aux couleurs vive ou un feu numérique. Mais ça divertit, les regards évocateurs de Mikkelsen et Eva Green apportent au film une atmosphère chargée de fatalité sans même parler. ()

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Malarkey 

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anglais Mads Mikkelsen sticks to his honest emotionless style and makes his way into the Wild West with colts stuffed with gunpowder. The fact that the Danes are shooting a western is already strange in itself. However, I must say that thanks to the stellar European cast, it did not turn out that bad. But the premise is very weak and the only thing interesting here are the locations and the filmmaking craft. I have a hard time with watching Western movies in general, so I give this a 3-star rating for now. But it is quite possible that when I get back to this in the future, I will add one more star. Seen based on the Challenge Tour 2015. ()

3DD!3 

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anglais A Danish minimalist western with the excellent Mikkelsen. In places, Levring quotes Leone verbatim, not hesitating even to give greater dimension to the characters, perhaps with a touching memory. The straightforward story with a bloody climax will please fans of this genre. The juicy acting performances (Pryce is perfect in the coffin) enhance the terrifying atmosphere of fear. It’s just a shame that Eva doesn’t have much to say and doesn’t come across as particularly sexy. Why couldn’t Jonah Hex have turned out like this? ()

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