Résumés(1)

« Le lit » est un endroit très important où une partie de l'histoire a lieu : notre héros est cloué au lit, il naît là et meurt également là. Durant sa vie il se cache souvent dans le lit, il se repose là, rêve là et vit également à cet endroit, comme tout le monde. Le lit est également l'endroit qui relie symboliquement le monde réel à l'autre monde. Nous rencontrons Lubosh Urna - héros principal de quarante ans « du lit » - dans un moment où il est mourant et délaissant ce monde. La raison immédiate de sa mort est banale et en même temps tragi-comique, tout comme la situation dans laquelle elle se produit. Nous pourrions même dire que la mort de Lubosh ressemble à la plupart des événements dans sa vie. De sa tendre jeunesse à l'âge adulte, il a été mis au monde par une femme, il a grandi parmi des femmes, il se marie à une femme, il a deux enfants avec elle, il travaille parmi des femmes et à la fin il meurt parmi des femmes. Sa description colorée des expériences, vraies et peu réalistes, de la manière dont elles sont mélangées, indiquent lentement l'histoire de la vie de Lubosh qui semble être une grotesque absurdité avec une fin très inattendue et choquante. Sur la frontière entre la vie et la mort Lubosh vient à une certaine identification qui est un choc aussi bien pour lui que pour les infirmières . (Eurociné)

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Critiques (1)

NinadeL 

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anglais This is indeed a "Czech porn tragedy." The authors aptly chose this slogan themselves. However, it's definitely not an attack on the Winter Palace. Formally, it does put the effort in, but what good is a love of black and white Cinemascope when content-wise it garbage, and it’s also not saved by the fact that it was admitted later that it’s 90% autobiographical. Personally, I perceive this film positively only due to the participation and acting performance of Sylva Langová - Williams, who has truly interesting entrances and costumes, excluding that of the Italian legionaries. For me, The Bed remains as much of an unfinished and unsuccessful a film as Menzel's Crime in the Night Club, which was also trying to do something else. Of course, in the case of Crime in the Night Club, the author already questioned his conscience, whereas here the authors are still patting themselves on the back; but thanks to this fact, at least a technically excellent DVD was released. I wish a more meaningful film had been released with such care. Alternatively, such diligence should be divided among more acceptable films. ()