Résumés(1)

Cascadeur à moto, Luke est réputé pour son spectaculaire numéro du «globe de la mort». Quand son spectacle itinérant revient à Schenectady, dans l'État de New York, il découvre que Romina, avec qui il avait eu une aventure, vient de donner naissance à son fils... Pour subvenir aux besoins de ceux qui sont désormais sa famille, Luke quitte le spectacle et commet une série de braquages. Chaque fois, ses talents de pilote hors pair lui permettent de s'échapper. Mais Luke va bientôt croiser la route d'un policier ambitieux, Avery Cross, décidé à s'élever rapidement dans sa hiérarchie gangrenée par la corruption.
Quinze ans plus tard, le fils de Luke et celui d'Avery se retrouvent face à face, hantés par un passé mystérieux dont ils sont loin de tout savoir... (StudioCanal)

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Bande-annonce

Critiques (9)

claudel 

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français Un film très spécial duquel je ne sais pas encore exactement quoi penser un jour après l’avoir vu. Ce film ne convenait sans doute pas à mon état d’esprit du moment. Si je l’avais vu à un autre moment et dans un autre état d’esprit, il m’aurait peut-être pris au cœur. Je ne comprends pas l’enchaînement des événements et l’alternance du rôle principal où les rênes passent entre trois, quatre personnages. Au final, c'est la composante musicale qui m'a le plus ému ; elle transmet une quantité considérable de mélancolie et de tristesse après ce qui se passe dans la première moitié du film. Note de bas de page : Comment le distributeur a-t-il pu publier un synopsis aussi farfelu ? ()

POMO 

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français Dans l'esprit d'Eastwood, de manière un peu plus lente, plus étendue, plus attentive aux personnages et intellectuellement plus complexe, ce film puissant parle des gens, de leurs actions et de leurs conséquences, de responsabilité, de culpabilité et de pardon. L'implication du spectateur dans l'histoire se renforce avec chaque segment de dix minutes qui s'ajoute. La musique est non conventionnelle, voire hypnotique - des chorales silencieuses qui donnent une profondeur tragique à la dernière partie du film, ajoutant une dimension fatale que Terrence Malick, dans ses derniers films, ne fait que simuler avec des chorales. J'étais impatient de voir Gosling, mais Cooper l'a éclipsé. Il livre ici sa meilleure performance jusqu'à présent, très intime. Je suis surpris que le producteur Sidney Kimmel n'ait pas fait plus de lobbying auprès de l'Académie, car c'est un film américain indépendant de dimensions leoneesques. ()

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J*A*S*M 

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anglais I have with this movie the same problem I had with Cianfrance’s previous one, Blue Valentine. Once again, the director-screenwriter attempts to present a broad indie social drama, but he’s unable to convincingly deliver and defend any of the conflicts that make the basis of the plot. As a result, the whole thing feels like disingenuous and manipulative stuff that wants to look important, and that’s all there is to it. In the first act it still works somehow, thanks mainly to Gosling’s charisma. Things start to grind in the second act, and the last act is, well, almost ridiculous. I’m very disappointed, I was really looking forward to it, but it seems that with Derek we don’t see eye-to-eye. 5/10 ()

novoten 

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anglais With such a duo in the lead roles, it couldn't have turned out any other way. Bradley Cooper steals every scene with his brilliant performance without hesitation, and Ryan Gosling only needs one look for the motorcycles in the film to be different than before. These pine trees at first seem like a proper probe into souls on opposite sides of the barricade, like an excellent dramatic arc that I will be talking about for some time. But behind that stone in the stomach that dragged me down for over two hours, there is simply something more. And when the viewer lets a few pivotal moments pass before their eyes and connects them back into a single whole, it will shake you up at least one more time. ()

DaViD´82 

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anglais An Iñárritu-esque movie in the form of a Kinder Surprise; it also offers three (un)similar things in one package. Tremendously powerful in many aspects; from the details like "wearing shabby t-shirts inside out" to building a dense atmosphere. What spoils the enthusiasm somewhat is the third act, which is not bad in itself, but still crouches deep in the shadow of the opening two acts. It is schematic, predictable, and somewhat didactic. Which, since it is meant to close the circle, is a little unfortunate. Quite a little bit. ()

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