Les Proies

  • France Le Roi de la montagne (titre de festival) (plus)

Résumés(1)

Quim roule dans une région isolée en suivant une route sinueuse et se perd. En essayant de se repérer, il est soudain la cible detirs en provenance de la montagne. Alors qu'il tente d'échapper aux projectiles, il rencontre une jeune femme qui semble perdue et vit apparemment le même cauchemar que lui. Méfiants l'un envers l'autre, ils décident néanmoins d'unir leurs forces pour quitter cette forêt hostile, glaciale et semer leurs poursuivants. (Le Pacte)

(plus)

Critiques (2)

POMO 

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français Il existe plusieurs drames et thrillers avec ce message (je ne veux pas spoiler) et celui-ci n'apporte rien de nouveau – au contraire, il me paraît même assez basique. D'un autre côté, le thème est mis en scène dans le cadre peu connu de la nature sauvage espagnole et le suspense y est finement amené. Pendant la majeure partie du film, on n’a pas la moindre idée de qui tire sur les personnages principaux ni pourquoi (ils se contentent d’échapper désespérément aux balles qui passent en sifflant, sans comprendre). Et le film en devient presque mystique. La relation entre les fugitifs est également un moteur fort du film, ceux-ci passant de la méfiance initiale à la codépendance et au besoin de se protéger mutuellement – ce qui mène d'ailleurs à la scène probablement la plus forte. ()

J*A*S*M 

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anglais Another addition to the growing family of good quality Spanish (or European) horror (thrillers) with a rural setting. In terms of feeling and atmosphere, King of the Hill is somewhere between the British Wilderness and the Spanish Satan’s Blood, meaning that it’s bloody good! Another great thing about this film is seeing the nice transformation that the slasher subgenre has gone through in recent years. Where are those days when it relied mostly on the number of victims and their colourful deaths (i.e. the 1980s or the era of Scream)? I sincerely hope they are buried and forgotten. Today it’s mostly about realism, the heroes know almost from the start that they are in deep shit and the creators have them stew in that situation. As it should be. If you want to criticise, you’ll surely find something (the script at least isn’t the best), but I really enjoyed those 80 minutes. The only thing I wonder is how many more times they can use that “relatively original element” (I don’t want to spoil it) before it becomes a cliché. ()