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Malgré son âge avancé, David Kepesh est un professeur de littérature reconnu pour ses critiques littéraires à la radio. Tout va pour le mieux jusqu'à ce qu'il rencontre Consuela Castillo, jeune exilée cubaine d'une vingtaine d'années à la sensualité envoutante. Pris d'une passion dévorante, tous deux vont entretenir une relation charnelle et sulfureuse. L'esprit de David va peu à peu se consumer dans cet amour et devenir fou... (Orange)

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POMO 

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français Je un peu triste quand je suis (presque) le seul à voir le caractère exceptionnel, voire parfait, d'un film. Son créateur ne reçoit pas les applaudissements qu'il mérite... Elegy est un film incroyablement abouti, sensible, psychologiquement complexe, créatif dans les détails (du scénario au brillant montage qui met en valeur toutes les scènes clés de manière magistrale). La réalisatrice réussit à décrire l'amour d'un homme de cinquante ans de manière plus précise et compréhensible même pour les spectateurs plus jeunes, mieux que ne le ferait un réalisateur masculin (ce qui confirme simplement la théorie selon laquelle les femmes voient mieux les hommes que les hommes voient les femmes). Elle choisit délibérément un duo apparemment hétérogène pour les rôles principaux Ben Kingsley / Penélope Cruz, afin de donner une forme complète à leur accord de caractère jusqu'à un retournement final inattendu. Je ne peux pas imaginer un meilleur et plus original interprète pour l'ami de vieux de Kingsley que Dennis Hopper, avec qui je n'ai autrement aucun lien chaleureux en tant que spectateur. En ce qui concerne le duo central, Kingsley est le sang et le cœur du film et la frontière entre son talent d'acteur et le talent de la réalisatrice dans la direction des acteurs est très difficile à distinguer - le véritable génie sera probablement leur compréhension mutuelle et leur jeu de talents. J'ai finalement été séduit par Penélope après de longues années (une combinaison fortuite d'Elegy et de Vicky Cristina Barcelona) et elle m'a transporté. Elle est un trésor, non seulement en tant qu'actrice. Et n'oublions pas la "consciente froide", la réaliste passionnée Patriccia Clarkson, chez qui le personnage de Kingsley ne trouve qu'un seul refuge stable. J'ai regardé Elegy juste comme ça, pour passer une soirée de dimanche, et j'ai éprouvé une satisfaction émotionnelle et spirituelle absolue devant ce film. Pourquoi ne pouvait-on pas maintenir le plan final statique sur la plage jusqu'à la fin des crédits? ()

claudel 

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français Une adaptation très réussie du roman de P. Roth. Bien sûr, il est extrêmement rare qu’un réalisateur parvienne à transférer à l’écran l’intégralité de l’intrigue du livre et il est donc normal de voir certaines parties manquer, en l’occurrence, des passages dépeints dans le livre de façon assez naturaliste. Mais dans la représentation d'Isabel Coixet, de tels passages ne seraient probablement pas adaptés et s’avéreraient distrayants. Après tout, le livre entier est basé sur les réflexions intérieures du personnage principal, ce qui effacerait complètement les autres personnages du film. En fin de compte, l'ensemble fait office de célébration de l’actrice Penélope Cruz et de son apparence éthérée. Je ne veux pas être négatif envers Ben Kingsley, mais je trouve qu’il ne convenait pas du tout au rôle de David et je dois dire qu’il m'a quelque peu agacé tout au long du film. Quant aux autres acteurs, Isabel Coixet les a très bien sélectionnés : Sarsgaard, Clarkson et Hopper sont tous excellents, Penélope, cela va sans dire, mais Ben Kingsley aurait dû être remplacé par quelqu'un d'autre, par exemple Anthony Hopkins ou Al Pacino… ()

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novoten 

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anglais The text translates to: A modestly vulnerable Creature and enchantingly captivating Beauty. It is hard to say how much credit to attribute to sensitive direction, a strong material from the source, or enthralling performances, for the truth remains that this combination mesmerizes from the first to the last dialogue. Whether it concerns close themes such as jealousy or fickleness, or more distant ones like old age, one can only respectfully bow to the carefully crafted story. ()

gudaulin 

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anglais As a drama of an aging man searching for an opportunity for sexual indulgence and finding his last true love, it deserves 5 stars because Penélope Cruz and Ben Kingsley belong to the elite of their acting generation and Isabel Coixet knows how to film it with elegance and sensitivity. As a film adaptation of Philip Roth's literary work, however, it barely reaches three stars. Personally, I haven't read the book but I know other books by Roth, and if he wrote like Isabel translates, he wouldn't be considered one of the greatest, if not the greatest, American novelists. It lacks bitterness and selfishness, and it lacks that dark side of a partnership. Only romance remains, the tragedy of unfulfilled desires and serious illness. Overall impression: 75%. ()

Marigold 

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anglais Average. Coixet and screenwriter Meyer turned Roth's phenomenal text into a sentimental and hackneyed love story. There is no irritability, anarchy, pornography - it is kind, moderate, protracted and sometimes quite boring. Only the solid Kingsley and the excellent Hopper stand out (his cynicism was supposed to dominate in the film!). I highly recommend buying the book instead of a ticket to the film and reading it instead of spending two hours in the movie theatre. It doesn't take much longer and it's an infinitely stronger experience. ()

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