Réalisation:
Pedro AlmodóvarScénario:
Pedro AlmodóvarPhotographie:
Rodrigo PrietoMusique:
Alberto IglesiasActeurs·trices:
Penélope Cruz, Blanca Portillo, Lluís Homar, José Luis Gómez, Tamar Novas, Rubén Ochandiano, Lola Dueñas, Asier Etxeandía, Ángela Molina (plus)Résumés(1)
Dans l'obscurité, un homme écrit, vit et aime. Quatorze ans auparavant, il a eu un violent accident de voiture, dans lequel il n'a pas seulement perdu la vue mais où est morte Lena, la femme de sa vie. Cet homme a deux noms: Harry Caine, pseudonyme ludique sous lequel il signe ses travaux littéraires, ses récits et scénarios ; et Mateo Blanco, qui est son nom de baptême, sous lequel il vit et signe les films qu'il dirige. Après l'accident, Mateo Blanco devient son pseudonyme, Harry Caine. Dans la mesure où il ne peut plus diriger de films, il préfère survivre avec l'idée que Mateo Blanco est mort avec Lena, la femme qu'il aimait, dans l'accident. Désormais, Harry Caine vit grâce aux scénarios qu'il écrit et à l'aide de son ancienne et fidèle directrice de production, Judit García, et du fils de celle-ci, Diego. Depuis qu'il a décidé de vivre et de raconter des histoires, Harry est un aveugle très actif et attractif qui a développé tous ses autres sens pour jouir de la vie, sur fond d'ironie et dans une amnésie qu'il a volontairement choisie ou, plus exactement, qu'il s'est imposé. (Pathé Films)
(plus)Critiques (3)
All of you Rosemund Pilchers and Danielle Steels out there had better start getting worried, Almodóvar has broken into the romance fiction market. Boring romance fiction that you’ve seen a hundred times in telenovelas, feebly masked by calling it art. If it weren’t for Penelope, in a couple of years time, we’d be more likely to see this on morning housewives’ TV than on the CT2 Film Club.
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An emotionally incoherent and typically Spanish film that is full of passion. Sometimes it's great, especially when Almodóvar steps out of the interior shots and smoothly transitions to the colorful, loaded exteriors, full of perfectly coordinated colors and half-uttered sentences. You think that the atmosphere is exceptional and it makes sense, but then another cut comes and a ton of dialogue, half of which is unnecessary. It repeats itself, as always. There's too much talking and not enough action. Penelope Cruz is the only one who doesn't even have to speak and she will still be great.
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Une histoire intéressante et captivante qui se déroule sur deux arcs chronologiques distincts et est, comme toujours, emmenée par Penélope Cruz et son côté éthéré. L'intrigue démarre lentement, pour évoluer ensuite graduellement vers un climax puis se parquer légèrement, sans bonne raison. Si Pedro Almodóvar avait raccourci Étreintes brisées d’une vingtaine de minutes, le tout aurait gagné en peps. Mais je suis quand même très content de l’avoir vu.
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