Fimfárum – Do třetice všeho dobrého 3D
Musique:
Karel HolasActeurs·trices:
Jan Werich, Jiří Macháček, Miroslav Krobot, Ota Jirák, Roman Říčař, Miroslav Vladyka, Maëlys RicordeauRésumés(1)
"L'Histoire du chapeau à plume de geai" de Kristina Dufková. Le vieux roi avait trois fils, auxquels il confia la mission de ramener un petit chapeau qu'il oublia des années auparavant dans une auberge des Terres Lointaines. Celui qui lui ramènera le chapeau sera couronné roi. Le premier, Alphonsafond fila aussitôt à bord de son bolide de course. Le second, Thomassif, coupa à travers champs sur sa bulldopelleteuse. Enfin, Jean, le troisième fils, dépensa toutes ses économies dans une petite mobylette pour atteindre les Terres Lointaines. Lequel arrivera le premier et sera donc couronné roi ? "La raison & la chance" réalisé par David Sukup M. Raison et le jeune Chance se croisent sur un pont. Ne voulant pas se céder le passage l'un à l'autre, ils se disputent. Mais quand finalement M. Raison cède le passage, il revendique que sans raison nul ne peut vivre, ce qui ne laisse pas Chance indifférent et ceux-ci se lancent un défi : M. Raison va entrer dans la tête d'un pauvre éleveur de cochon et nous allons voir jusqu'où peut-on aller sans un peu de chance... (Cinéma Public Films)
(plus)Critiques (2)
Fixing the poetics of Werich's book with the popular attributes of the 1960s turned out to be downright unfortunate. How Giants Perished in the Šumava Mountains is much closer to the film Oil Gobblers, and I would certainly not confuse these different directions in Czech humor. The other stories are not worth writing about.
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If all three films titled "Fimfárum" were put together, it would create a great work where different forms of animation would alternate, great stories would be presented, and it would be an experience. The third "Fimfárum" is not the same as the first one, it is running out of breath and the animation is not bad, but it is no longer as inventive. Instead, it plays on subtle jokes that don't really sit well with me in relation to Werich. There is nothing to criticize about the fairy tales themselves, they are simply unique. Werich is also a brilliant narrator, and you believe his own jokes. A nice experience that adults will take away more from than children. More: http://www.filmovy-denik.cz/2012/04/diar-milovnika-filmu-c-0004-hugo-buh.html
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