Slumdog Millionaire

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Jamal Malik, 18 ans, orphelin vivant dans les taudis de Mumbai, est sur le point de remporter la somme colossale de 20 millions de roupies lors de la version indienne de l'émission Qui veut gagner des millions ? Il n'est plus qu'à une question de la victoire lorsque la police l'arrête sur un soupçon de tricherie. Sommé de justifier ses bonnes réponses, Jamal explique d'où lui viennent ses connaissances et raconte sa vie dans la rue, ses histoires de famille et même celle de cette fille dont il est tombé amoureux et qu'il a perdue. Mais comment ce jeune homme est-il parvenu en finale d'une émission de télévision ? La réponse ne fait pas partie du jeu, mais elle est passionnante. (Pathé Films)

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Bande-annonce 2

Critiques (15)

claudel 

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français Un doux conte de fées avec un message dur écrit entre les lignes. Pour moi, c’était un grand moment, déjà rien que pour le cinéma dans lequel je l’ai vu – La Pagode, pas loin des Invalides – et la salle envoûtante avec son parfum d’Asie et son ambiance mythique, par ailleurs dotée d’une excellente acoustique. Je classerai les atouts principaux du film dans l’ordre suivant : 1. la musique ; 2. la réalisation ; 3. la photographie ; 4. le montage. Danny Boyle m’a fait peur avec sa science-fiction qui n’était pas à mon goût, mais heureusement, il est revenu aussitôt sur un projet séduisant et hors norme. Je suis ravi d’être allé voir son dernier film, mais je constate que, pour des raisons purement émotionnelles, La Plage reste pour moi à la première place. ()

POMO 

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français "Millionaire from the slums" est un nouveau film important qui a la même influence que "Tigre et Dragon". C'est un récit d'amour venant d'un coin exotique du monde, raconté dans un langage universel compris à travers le monde, auquel un spectateur ordinaire ne pourra pas accéder. Et les Indiens soutiendront en vain (comme les Chinois l'ont fait à leur époque) qu'ils tournent de tels films depuis des décennies chez eux. Non, ils ne les tournent pas. Quelqu'un de l'extérieur doit venir parmi eux et apporter son objectif d'Europe de l'Ouest. "Millionaire from the slums" n'est pas un film de Bollywood, c'est une célébration pyrotechnique du Bollywood en tant que culture cinématographique, avec tout son romantisme. Dans cette belle histoire d'amour, elle exploite pleinement la splendeur et la misère du micromonde indien et lui confère un charme attrayant pour le public de manière inventive et fraîche. C'est un petit joyau cinématographique discret qui brille plus que toutes les bijouteries de Los Angeles où va faire ses achats "Benjamin Button". C'est un film qui célèbre la vie, la foi, la pensée positive; un film qui n'a pas été fait dans le but de devenir le film de l'année récompensé. Et c'est précisément pour cela qu'il le mérite. De nos jours, ce film est un petit miracle. Et Danny Boyle est le Père Noël. P.S. Jen Lopez ou Rosario Dawson ont les traits de Freida Pinto, mais elles n'ont pas ses yeux. Aucune actrice hollywoodienne n'a les yeux de Freida Pinto... ()

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Lima 

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anglais A naive, clichéd and predictable fairy tale about how a poor boy came to happiness. Boyle's film captivates with the sweeping realities of contemporary, overpopulated India, but otherwise has little else to offer. The childhood scenes are excellent, full of life and filmmaking passion, but the rest follows the same routine as many other films, without a hint of surprise, suspense or believable emotions. Bollywood came to Hollywood with a bang and everyone sat on their asses. Not me, though, sorry. ()

Isherwood 

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anglais Danny Boyle got rid of Alex Garland and brought a cheap fairy tale to the West, exactly according to the Bollywood model. Its aesthetics of dirty slums and the search for happiness in it obviously earn touching moments with the audience, standing applause, and gilded statuettes. Unfortunately, to me, it smells of cheap calculation, which is only kept afloat by the fantastic passage with the little kids, which is funny and sad, and above all real, which cannot be said about the rest. It’s not that I don't appreciate the effort, but I yawned through the efforts of this hypocritical world - the visuals are like one of Tony Scott's Mexican trips and the good music (Boyle’s trademark) is nowhere to be found. I understand the general enthusiasm, I just don't share it. ()

J*A*S*M 

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anglais A charming film with an amazing atmosphere that warms the heart and caresses the soul. I don’t think the comparisons with City of God are that appropriate, even though they are logical. Whereas City of God is a cold and cumbersome construct without personality, Slumdog Millionaire is a warm, viewer friendly and, above all, brisk fairytale that doesn’t have any big message, but it’s all the more honest because of that. Danny Boyle has proven many times that he’s a visual wizard, but now he delivers a perfect fusion of images and music. Basically, in every scene with an important song all I could do was watch the screen with admiration and amazement – so many ideas and tricks is not something you see every day. I don’t think it’s a worthy best film of the year, but the direction really does deserve an award. ()

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