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Octobre 1962, la crise des missiles de Cuba plonge la planète dans la psychose atomique. Située à seulement 150 km des côtes cubaines, la ville de Key West se prépare au pire. Au milieu du tumulte, Gene Loomis, un adolescent solitaire, attend la venue du producteur de films d'épouvante Lawrence Woolsey. Ce dernier doit y présenter "Mant!" : l'histoire d'un homme transformé en fourmi géante après une exposition aux ondes radioactives. Projeté en Atomo Vision, l'évènement va bien plus loin qu'une simple séance de cinéma, et Woolsey profite de l'agitation ambiante pour semer la panique en ville... (Carlotta Films)

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Critiques (2)

D.Moore 

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anglais "Thanks, Mr. Hitchcock." A typical Joe Dante film, which I think should be at least as well known as Gremlins or The 'Burbs... Matinee is a successful American family comedy with all the trimmings, and you will enjoy it all the more if you have a (positive) relationship with classic B-horror monster movies. Of course, the film is at its best when we watch John Goodman's creation, but the rest of the film, dealing with the child characters, the Cuban crisis and the strange atmosphere of fear of a nuclear attack, is not much worse. The fictional thriller about the half-man, half-ant Mant, which premieres in the second half of the film, is not without its faults, and I really liked other little things - like the hilariously awkward excerpt from another non-existent film about the ghost of Uncle Cedric who reincarnated into a shopping cart. Everything looks great, it has a great period atmosphere, the fake black and white films look very real... All that is left is to "only" praise the music of Jerry Goldsmith, with whom Dante has collaborated for the sixth time - and again brilliantly. I give the film 4.5 stars. ()

Goldbeater 

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français Joe Dante a créé un hommage de plus aux films américains de série B et, en même temps, à la surexcitation des enfants que l’on pouvait observer dans les cinémas cubains et qui constituait un mécanisme d’évasion pendant les tensions politiques de la crise des missiles. Cette excitation d’une pureté cristalline était visible tant chez les adultes (illustrée notamment par l’excellent John Goodman) que chez les enfants ; si vous êtes un(e) cinéphile endurci(e), vous ne pouvez pas ne pas voir Panic sur Florida Beach. Une aventure pareille, taillée pour les fans, pour moi, c’est quand vous voulez ! Et William Castle aurait applaudi ! ()