Et Satan conduit le bal

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A unique movie from the late period of the French New Wave with an all-star cast. Ivan, a handsome gigolo, and his new lover Emmanuelle (a daughter of a retired crime boss) are hiding in Provence, at their friends’ luxury villa. Soon, the tricky games of love commence. (Summer Film School)

Critiques (1)

Goldbeater 

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français Il est intéressant de constater que Grisha Dabat (avec l’aide de Roger Vadim) a contribué à la Nouvelle Vague par un film unique sans n’avoir plus rien tourné par la suite. Et Satan conduit le bal n’est pourtant pas une quelconque œuvre de pacotille qui ne pourrait pas se mesurer aux autres films de la Nouvelle Vague. Il s’agit néanmoins d’un thème classique étrangement filmé (mais c’est quoi, ce montage ?!) aux relations entrelacées et aux cerveaux embrouillés et avec un fifrelin d’intrigue policière (qui semble inappropriée et prête plutôt à rire). Il y a aussi le fait que le héros principal ait pu se comporter en crétin fini et qu’en plaquant une Catherine Deneuve alors âgée de dix-neuf ans, il devient évident qu’ici, personne ne se comporte de façon rationnelle. Un spectacle embarrassant avec un dénouement relativement intéressant. [LFŠ 2019] ()