Le Voile des illusions

  • États-Unis The Painted Veil
Bande-annonce 1

Résumés(1)

En 1920, après un mariage pour convenances sociales, Kitty part avec son mari, Walter, médecin bactériologiste, pour vivre à Shanghai où il doit mener des recherches. Rapidement, la jeune femme tombe amoureuse d'un autre homme, marié lui aussi. Lorsque Walter découvre l'adultère dont il est victime, il promet à Kitty de la laisser partir et de lui accorder un divorce qui ne mentionnera pas son infidélité et lui conservera ainsi une réputation sans tâche, si son amant quitte sa femme pour l'épouser. Walter sait que cet homme place sa carrière avant ses nombreuses conquêtes féminines... Abandonnée par son amant, Kitty est contrainte d'accompagner son mari dans une région où une épidémie de choléra balaie les populations et où les guerres locales font rage. Autour d'elle, les gens souffrent, et la manière dont Walter se bat sans compter pour les sauver va pousser Kitty à revoir ses valeurs et à découvrir vraiment l'homme qu'elle a épousé... (Metropolitan FilmExport)

(plus)

Vidéo (2)

Bande-annonce 1

Critiques (8)

POMO 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Le réalisateur ne nous permet pas de toucher les personnages et de succomber aux émotions de l'histoire dans la première moitié du film, il est tout aussi immature que son héroïne féminine. Cependant, ce handicap se relâche avec le temps et avec l'évolution du personnage de Naomi Watts, une belle et touchante histoire d'amour entre deux personnes différentes qui se rapprochent à la fin du monde commence à fleurir sur l'écran. Dommage aussi pour la conclusion succincte qui méritait une réflexion plus approfondie. En principe, il s'agit d'une belle carte postale cinématographique des coins exotiques, bien qu'elle soit rapidement oubliable et qu'elle n'atteigne pas l'épopée de l'élite hollywoodienne, mais qui est authentique et chaleureuse à l'intérieur. De la même manière que les récentes réalisations locales du réalisateur australien Phillip Noyce (Rabbit-Proof Fence). Naomi fait du bon travail, mais la tête et le moteur du film sont (encore une fois) Edward Norton, bien qu'il soit beaucoup moins présent à l'écran qu'elle. P.S. Une autre belle bande originale du nouveau venu hollywoodien, Alexandra Desplat. ()

claudel 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français La qualité du Voile des illusions réside dans la distribution pertinente de ses rôles. J’ai l’impression que si Edward Norton et Liev Schreiber inversaient leurs personnages, le résultat serait drôle et pas crédible pour un sou. Ainsi, ce sera l’ennuyeux bactériologue dévoré par ses recherches sous les traits d’Ed et le séduisant diplomate sous ceux de Liev. Et, au milieu, la belle, fragile, naïve et absolument non malicieuse Naomi Watts. Je suis d’avis qu’il s’agit plutôt d’un récit en huis clos et d’un drame sur un couple, par ailleurs magnifiquement joué et magnifiquement tourné. Je ne comparerais pas Le Voile des illusions avec We Don't Live Here Anymore, mais je dois dire que le drame du quatuor amoureux m’a plus marqué. ()

Annonces

novoten 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais Do we love a person for their virtues or vices? Sometimes we realize that only on the way back, where we should have always been. I would like to take this journey together with the main characters. With a pounding heart and accelerated breath. I was prevented by a slightly tired script and also Curran's lacking bravery in directing. Beautiful images with perfect actors only bring temporary joy without a lasting impact. ()

gudaulin 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais In many comments, I read how predictable this film is... Well, isn't Titanic predictable? Or the story of Romeo and Juliet? Everyone knows them by heart. However, for some reason, the play "Romeo and Juliet" is considered an exceptionally powerful love story, even though it has nothing to do with love in reality. Infatuation and love are completely different concepts. Love is longing, compassion, and a whole range of other feelings that infatuation lacks. The Painted Veil is a beautiful story about how real love emerges. Tragic, unfulfilled, and highly romantic, brilliantly cast and acted. It is the typical case of perfectly working chemistry between the actors in the lead roles. I have no objections to the supporting characters and their performers either. A very likable experience. Overall impression: 90%. ()

DaViD´82 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais The Painted Veil immediately has several unarguable pluses. Primarily the chemistry between Edward Norton and Naomi Watts. Even the atmosphere of the setting, the camerawork and the music are exceptionally well-done. It has just two downsides that go hand in hand and drag the entire picture into average land. It’s sentimental and predictable. It is really annoying when the storytelling drags on too long, plus you know exactly what, when and how things are going to happen, before it happens. Add to that the knowledge that you have to survive another hour and a half until the end. It is even more disappointing due to the fact that the acting is very high standard and there are a few scenes that work excellently. A shame that there are so few of them. ()

Photos (35)