Résumés(1)

Fraîchement diplômée d’une université californienne, Katherine Watson vient d’accepter son premier poste de professeure au Wellesley College, un établissement huppé du Massachusetts réservé à la gent féminine, où les conventions font loi. Les étudiantes, sérieuses, n’en attendent pas moins avec impatience le jour où elles se marieront pour se consacrer à plein temps au bonheur de leur foyer. Lorsque Katherine commence à remettre en question l'attitude des jeunes femmes en défendant la liberté de pensée et l'autonomie, elle devient un modèle pour certaines, mais une ennemie à abattre pour d'autres, notamment l’influente Betty, qui prépare ses noces… Julia Roberts fait de nouveau face à l’adversité dans ce film de campus qui rappelle, par certains aspects, Le cercle des poètes disparus de Peter Weir. Dans ces années 1950 encore corsetées, pour sauver ses étudiantes d’une destinée toute tracée, l’enseignante qu’elle incarne s’évertue à faire bouger les mentalités, même si elle-même n’est pas exempte de doutes et commet des faux pas. Aux côtés de la star, le réalisateur Mike Newell réunit une pléiade de jeunes talents, parmi lesquels Ginnifer Goodwin, Kirsten Dunst et Maggie Gyllenhaal. (Arte)

(plus)

Critiques (3)

NinadeL 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais In the films The Hairy Bird and Dick, we have experienced the joys and sorrows of teenage life in the 1960s and 1970s together with Kirsten Dunst, and now we return to the 1950s in an arc and, thanks to Kirsten, once again experience the many paradoxes of a particular era. Where was the democratic progressive society of the USA a few years before World War II? In prehistoric times, folks. ()

kaylin 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais On one hand, yes, it is quite an interesting portrayal of the period with believable characters, but on the other hand, it's a story that feels incredibly contrived. The happy ending at the end seems almost forced, and suddenly you're supposed to like a character you've disliked the whole time. You realize that all of a sudden, they all become caricatures who don't say anything, they just play for the sake of the story. Yes, it works overall, but that's normal for similar films. It's a pity that the film doesn't bring anything extra, like the film "Black and White World" did, which it actually has quite a lot in common with "The Smile of Mona Lisa". ()