Kwaidan

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Les Cheveux noirs : Un samouraï de rang inférieur poussé par l'ambition abandonne son épouse, se remarie avec la fille d'une riche famille de la capitale. Quelques années plus tard, rongé par le remords, il retourne en pleine nuit chez sa première femme... La Femme des neiges : Deux bûcherons pris dans une tempête de neige passent la nuit dans un refuge. Apparaît alors une femme terrifiante qui tue l'un des deux hommes de son souffle glacial. Elle consent à épargner l'autre, un beau jeune homme, à condition qu'il ne raconte jamais ce qu'il a vu. Quelques années plus tard, l´homme est marié à une femme douce, belle, a tout oublié de cette nuit... Hoïchi sans oreilles : Dan-no-Ura est le lieu d'étranges apparitions depuis la fameuse bataille navale qui vit la défaite, quelques siècles auparavant, du clan Heiké face au clan Genji. Hoïchi, jeune aveugle, talentueux conteur de l'épopée des Heiké va réveiller à ses dépens les guerriers fantômes du clan déchu. Dans un bol de thé : Un jour, l'image d'un homme flotte au fond du bol que s'apprête à boire un samouraï. D'abord intrigué, ce dernier finit par avaler son thé. Mais une nuit qu'il est de garde au château, l´homme du bol apparaît devant lui... (Wild Side Video)

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DaViD´82 

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anglais Black Hair and The Woman of the Snow seem as if they were simply Asian versions of Anderson’s fairytales. Too bad that both seem to be only good prologs to much more extensive (and more interesting) material because when it eventually gets to the most interesting phase, it’s over. The third kaidan, Hoichi the Earless has the exact opposite problem: despite not being particularly enthralling, it was the longest. A shorter and harder hitting presentation would have suited it better. And so only In a Cup of Tea, aka forerunner to all those Japanese shock movies, works as it should. But even so, none of the kaidans are bad, but none of them can be described as a gem. Much is saved by the “squeaky" sound effects and the beautiful interior production design, like straight out of a Hammer studio. P.S.: I really must get a copy of Hearn’s “Kwaidan" - shame it’s impossible to find it in any second-hand bookshops. ()

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