Amère victoire

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1943, l'état major britannique en Lybie envoie un petit commando s'emparer de documents militaires allemands. A sa tête le major David Brand (Curd Jürgens), militaire de carrière sans vraiment l'expérience du combat, secondé par le capitaine Leith (Richard Burton), archéologue de profession. Les deux hommes, de tempéraments opposés et amoureux de la même femme se connaissent mais ne s'estiment guère. Face au danger, Brand fait preuve de lâcheté et Leith doit agir à sa place, ce qui ne fera que renforcer la rivalité pendant le long et périlleux trajet de retour dans le désert. (Sidonis Calysta)

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Dionysos 

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français La contribution est écrite principalement pour rappeler que c'est dans les commentaires de ce film de Nicholas Ray que Godard a écrit en janvier 1958 la célèbre phrase, encore citée à l'excès : "Nous avons déjà vu du théâtre (Griffith), de la poésie (Murnau), de la peinture (Rossellini), de la danse (Eisenstein), de la musique (Renoir). Il existe néanmoins aussi le cinéma. Et le cinéma, c'est Nicholas Ray." Et plus loin, par exemple : "... car Bitter Victory n'est pas le reflet de la vie, mais la vie même créée par le biais du film... (...) Ce n'est pas un film, c'est quelque chose de meilleur que le film." (sic!) Eh bien, même un maître charpentier peut parfois se couper, et dans ce cas, selon moi, l'auteur de ces phrases a dû se couper toute la main, car ce que j'ai vu, ce sont des performances d'acteur à peine croyables (sur lesquelles repose le film) au milieu d'un scénario en rien convaincant. Les décors désertiques sauvent le film, qui donnent à certaines scènes un effet saisissant, alors que les réalisateurs eux-mêmes ne l'ont pas vraiment réussi. ()

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