Little Nicky

Bande-annonce

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Nicky (Adam Sandler) est un jeune homme presque ordinaire. Il préfère de loin s'assourdir de heavy metal dans sa chambre plutôt que s'investir dans les sombres affaires familiales. Ses deux grands frères, Adrian (Rhys Ifans) et Cassius (« Tiny » Lister), sont d'une autre trempe. Dévorés d'ambition, sans scrupules, ils brûlent d'impatience et n'attendent qu'une chose : prendre la place de leur infernal papa (Harvey Keitel) - le diable lui-même... Mais même au bout de 10 000 ans de règne, le vieux Satan n'est pas décidé à passer la main. Dépités et furieux, les deux Belzébuth juniors décident de fondre sur New York pour passer leurs nerfs et créer leur propre enfer sur Terre. En quittant le giron familial, ils brisent l'équilibre des lois naturelles du cosmos, condamnant le Prince des ténèbres à perdre ses pouvoirs.... Il n'y a plus que Nicky pour sauver le diable et son royaume ! Pour tout apprendre de la vie sur Terre et retrouver ses frères, Nicky devra compter sur bien d'étranges compagnons : un chien à la tchatche infernal et Valérie (Patricia Arquette) une demoiselle « terriblement » humaine qui va lui faire découvrir le 7éme ciel ... Perdu dans un monde inconnu, Nicky va aussi devoir apprendre à se servir de ses formidables et démoniaques pouvoirs : En comparaison de ce qu'il va endurer, l'enfer, c'était le paradis ! (Metropolitan FilmExport)

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Critiques (4)

DaViD´82 

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anglais The pitifgul awkwardness named Sandler is to die for after the opening scene, but over the course of the running time the creators (unsurprisingly not Sandler) manage a few successful jokes, so it's bearable. It's hard to enjoy, though. ()

lamps 

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anglais What a terribly crazy film! Sandler once again applies absolutely incredible humour, which is definitely not for everyone, and I tolerate it only because he makes fun of absolutely everyone and everything he can think of. First of all from hell itself, which is portrayed so stupidly and unbelievably for us Czechs, that the parodic touch completely won out and overwhelmed the sheer stupidity of the film – watching Satan played Harvey Keitel punish Adolf Hitler had something to it, no matter how one views it. On the one hand, it was painful to watch an actor of Sandler's quality in such an idiotic role, but the few excellent scenes and the many direct references connected with the participation of many familiar faces were a pleasure. I don't know if I should recommend it, but it's not a complete waste of time by any means. 50% ()

claudel 

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français Sans doute l’une des moins bonnes comédies « sandlériennes » et, d’après moi, l’une de celles qui sont à la limite d’être constituées de bizarreries et d’absurdités en tous genres. Par contre, la distribution est excellente. Pendant tout le film, j’ai été dérangé par les expressions faciales de Sandler. Et combien de fois n’ai-je pas regretté de ne pas encore avoir vu cette comédie déjà ancienne, mais finalement, tout comme avec The Waterboy, elle n’en valait pas la peine et on l’oublie vite. D’un autre côté, on a les inoubliables tels que Copains pour toujours, Self Control ou encore Click : Télécommandez votre vie et c’est pour ceux-là qu’Adam Sandler continue d’avoir une place dans mon top dix. ()

kaylin 

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anglais I couldn't really get into that movie at all, but in the end, yes. It's playful, it's crazy, and I eventually got used to Sandler's smirk too. Some actors here give absolutely unforgettable performances, computer tricks are used brilliantly, which are not bad for their time at all. The fact is, I will simply remember this movie. ()