American Pastoral

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Bande-annonce 3

Résumés(1)

L'Amérique des années 60. Autrefois champion de sport de son lycée, Seymour Levov, dit « le Suédois », est devenu un riche homme d'affaires marié à Dawn, ancienne reine de beauté. Mais les bouleversements sociopolitiques de l'époque font bientôt irruption dans la vie bourgeoise, en apparence idyllique, de Seymour. Lorsque sa fille adorée, Merry, disparaît après avoir été accusée d'acte terroriste, il part à sa recherche pour que sa famille soit de nouveau unie. Profondément ébranlé par ce qu'il découvre, il doit affronter le chaos qui secoue la société américaine et jette les bases d'un nouveau monde. La vie de famille ne sera plus jamais la même... (Mars Distribution)

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Critiques (3)

POMO 

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français Ewan ne pouvait pas choisir un sujet plus difficile ? La fin du film suscitera des émotions et touchera quelqu'un, mais tout le reste est hors sujet, vide et sans intérêt. Ewan n'est qu'un sympathique émotionnel, son jeu d'acteur ne suffit pas pour un personnage aussi complexe. Jennifer change constamment d'humeur, comme si elles n'appartenaient pas au même personnage, et la fille problématique ne fonctionne pas du tout. Un film mal dirigé et dramatiquement défaillant. ()

kaylin 

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anglais I was looking forward to a movie about the destruction of the American Dream, but I can't help it, it just didn't work out, and you're left with a fairly empty narrative where the actors tried, but it still wasn't enough. An excellent trio of actors in the lead roles, yet you still feel like it's very dull. Here, the script and set design failed, being incredibly restrained and not wanting to show anything more. ()

angel74 

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anglais American Pastoral is a somewhat peculiar film that could have been very successful but remained somewhere halfway there. The whole time, I was incredibly annoyed by the behavior of the daughter Merry, played by Dakota Fanning. I guess that's why I couldn't really empathize with the story. My emotions got a bit shaken only at the very end. The clear message of the film for me remains that loving one's child unconditionally, no matter how dreadful their actions, does not pay off. It can take us to the very edge of the abyss from which there is no return. (65%) ()