Propriedade

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Ever since she was the victim of a hostage situation, Teresa has lived in seclusion in her townhouse. She is clearly still so distressed that she can even only bear to watch her beloved dog through the window of her veranda. When she decides to go to her family’s country estate to recuperate, her husband Roberto buys her a state-of-the-art armoured car to make her feel safer. However, shortly after they arrive, the farm’s workers – who are to be dismissed after years of exploitation – occupy the estate house at gunpoint. While Roberto is taken hostage, Teresa manages to escape to the safety of the car at the last minute. But she cannot start the vehicle and is trapped. Shots are heard more and more often, and the prospect of negotiations dissolves into blood. (Berlinale)

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POMO 

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français Un thriller social bien réalisé sur un choc tragique entre les classes. Propriedade se déroule dans la campagne brésilienne, où les travailleurs locaux d’une ferme se soulèvent contre ses propriétaires, un couple marié venu de la ville. Ces derniers ne font pas confiance à la police ni à la loi, mais croient aveuglément qu’ils seront sauvés d’un lynchage par les « sauvages ». La psychologie de la foule, composée d’individus à la pensée limitée et inconscients des réalités d’un monde aux fondements juridiques, est bien saisie. Facilement applicable à des situations possibles même dans des pays plus progressistes que le Brésil, y compris certains pays d’Europe. À faire froid dans le dos ! [Festival du film de Sitges] ()