Résumés(1)

Prague, 1938. Alors que la ville est sur le point de tomber aux mains des nazis, un banquier londonien va tout mettre en œuvre pour sauver des centaines d’enfants promis à une mort certaine dans les camps de concentration. Au péril de sa vie, Nicholas Winton va organiser des convois vers l’Angleterre, où 669 enfants juifs trouveront refuge. Cette histoire vraie, restée méconnue pendant des décennies, est dévoilée au monde entier lorsqu’en 1988, une émission britannique invite Nicholas à témoigner. Celui-ci ne se doute pas que dans le public se trouvent les enfants - désormais adultes - qui ont survécu grâce à lui... (SND)

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Bande-annonce 4

Critiques (2)

Goldbeater 

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français Les films comme Une vie sont souvent difficiles à évaluer, parce qu'il faut séparer l'importance du sujet raconté de l'art de la narration. Ici, je ne rencontre pas vraiment ce problème. Le film ne cherche pas à impressionner d'emblée, il présente les choses de manière complexe, et quand il frappe une corde sensible, c'est mérité. De plus, lorsque le personnage d'Anthony Hopkins est confronté à la vérité déchirante sur le sort des personnes qu'il n'a pas pu sauver, il ne se lance pas dans un monologue larmoyant et plein de pitié, il ne cherche pas à émouvoir facilement le spectateur, il marche simplement jusqu'à la fenêtre et regarde au loin. Les nuances ont leur rôle à jouer. Hopkins confirme une fois de plus sa renommée comme l'un des meilleurs acteurs de notre époque et il est excellent et captivant, même s'il n'apparaît que dans la moitié du film. Et Johnny Flynn lui emboîte joliment le pas. Seuls les acteurs tchèques dans ce film sont parfois comme un cheveu dans la soupe. Mais je fais consciemment abstraction de ça. ()

Stanislaus 

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anglais Who doesn't know the story of Nicholas Winton, who, in collaboration with other determined people, managed to save the lives of 669 children? One Life is essentially a simple film in terms of story, with a clear structure that purposefully alternates between two time periods separated by half a century, but it is that story that makes the film an incredibly powerful and moving experience, enhanced by convincing performances and a spot-on cast. Czech viewers will appreciate, among other things, the Prague locations and the many Czech phrases heard in the film. In the end, the film may seem a bit melodramatic, but it barely underlines the modesty of an "ordinary" man who did extraordinary things. ()

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