The Bear

(série)
Bande-annonce 1

VOD (1)

Saisons(3) / Épisodes(26)

Résumés(1)

Carmy, a young fine-dining chef, comes home to Chicago to run his family sandwich shop. As he fights to transform the shop and himself, he works alongside a rough-around-the-edges crew that ultimately reveal themselves as his chosen family. (Hulu)

Vidéo (3)

Bande-annonce 1

Critiques (3)

claudel 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français La série The Bear est presque un must pour tout fan de films et de séries qui se respecte. Question genre, c'est une série atypique, il serait superficiel de la qualifier de série sur la cuisine ou de comédie, de drame ou de dramedy. On ne peut pas lui coller d'étiquette, aucune description précise ne me vient à l'esprit. Souvent, il semble ne rien se passer à part des scènes tout à fait banales, mais celles-ci ont leur sens et forment ensemble une image fascinante. Alors que la première saison m'évoquait constamment la même question – pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ? –, dans la seconde, je me sentais simplement satisfait, en acceptant que les choses étaient comme elles devaient être. Je suis d'accord avec les critiques qui disent que le sixième épisode de la deuxième saison avec le dîner de Noël représente le summum du divertissement en série. Jamie Lee Curtis a magnifiquement joué un rôle que beaucoup de gens dans le monde incarnent sûrement et qui peuvent gâcher la vie de leurs proches et d'eux-mêmes. Dans l'épisode suivant, une autre actrice oscarisée, Olivia Colman, enchante tout le monde de sa présence. Oliver Platt brille dans son rôle secondaire dans les deux saisons. La série peut sembler ennuyeuse, déprimante ou étrange à première vue, mais est en réalité un trésor caché. La deuxième saison lève la barre encore plus haut et j'ai hâte de voir la troisième. Personnellement, je trouve que beaucoup d'acteurs tendent à tomber dans un stéréotype et ne jamais sortir de leur rôle culte unique. Jeremy Allen White restera toujours le Lip bien-aimé de Shameless pour moi, mais dans The Bear, je ne pense pas avoir jamais pensé à un tel personnage ; c'est qu'il incarne Carmy avec brio ! Dernière remarque : le personnage de Richie mériterait un prix pour la meilleure transformation dans une série. ()

3DD!3 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice (pour cette série)

anglais A broth of stress and emotions. Surprising revelation? Owning a restaurant is suicidal, and trying to turn a buffet into a fancy restaurant is tantamount to purgatory. Acting-wise, it’s amazing. The pace is frantic and there’s always something happening. Some liken it to Boiling Point, but Bear is a little more optimistic, though the falls are all the more painful. Really strong. ()

Annonces

DaViD´82 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglaisDude, it would be weird to work in a restaurant and not completely lose your mind.” A pressure cooker of emotions, insecurities, ambitions, characters, depression, food, joys, self-destructive behaviour patterns, anxieties and the enslaving daily routine in the "kitchen behind the scenes". All this in a frenetic, adrenaline-fuelled guise (it's constantly in motion, everything and everyone is spinning, five dialogues running over each other, etc.), but it's always first and foremost about the characters. The way they are handled, and how Storer wasn't afraid to do a 180 degree turn for the second series and still stay true to the concept – respect! It feels like an indie film from the 1990s, with Sorkin on steroids writing the dialogue. Despite all the cinephile allusions (Storer isn't afraid to repeatedly make it known how big a fan of Michael Mann and Ridley Scott he is), it's idiosyncratic, haunting, captivating. And despite (or because of) all the adrenaline, chaos and emotions, it can take you by the heart and devastate you as well as make you smile. | S1: 5/5 | S2: 5/5 | ()

Photos (39)