Una femmina
Réalisation:
Francesco CostabilePhotographie:
Giuseppe MaioMusique:
Valerio C. FaggioniActeurs·trices:
Lina Siciliano, Fabrizio Ferracane, Anna Maria De Luca, Simona Malato, Mario Russo, Francesca Ritrovato, Luca MassaroRésumés(1)
Rose was a child when her mother died, and the family had an explanation ready for her: suicide. Except the fragments of memory that come to the young woman as she is growing up in the care of her grandmother and despotic uncle in a remote part of Calabria suggest something else. In her desire to understand the past and the family dynamic, Rosa uncovers the laws of the mafia world, in which she had only been a passive element until now. The need for defiance increasingly smoulders within her. Screened at Berlin, this evocative drama with its feminist subtext relies on expressive performances, sombre visuals and genre interplay. Director Francesco Costabile was inspired by the true stories of women who stood up to the ‘Ndrangheta, the most powerful organised crime syndicate in Italy. (Karlovy Vary International Film Festival)
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Critiques (1)
Una Femmina est une suite de scènes ennuyeuses, monotones et répétitives où les personnages se lancent des regards plombés pour faire comprendre au spectateur qu'ils ont des difficultés dans la vie. Pendant toute la première heure d'une intrigue qui fait du sur-place, on attend désespérément le moment où la protagoniste prendra conscience de ce que nous, le public, on sait déjà depuis la première scène, dans l'espoir qu'ensuite, l'intrigue se mette enfin en branle dans ce qui pourrait se révéler un revenge movie intéressant. Mais en fin de compte, on n'arrive jamais nulle part. Il y a juste une scène symboliquement littérale à la fin où, le regard pointant vers la caméra, on nous fait comprendre, à nous les spectateurs butés, que les personnages de ce film ont vraiment la vie dure. [KVIFF 2022]
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