Résumés(1)

Zsadányi frees his goddaughter, Bankós Mari, who was taken by the gendarmeries as an alleged communist. He drives into the forest, to the site where Mari was arrested, in a red car. His fantasies, which are a true portrayal of their future in the 30s, come alive. - The "wild rounds" of the country rage in parallel to the ritual love story of Zsadányi and Bankós Mari. The Great Plain is cut up by barbed wire and motor-cycles and bombing machines replace horses. Zsadányi's one-time friends are the bootlickers of German fascists. The land-owner who used to live on his estate in socialistic community with his peasants is more and more isolated from them. He attributes the reason for the country's destroy to the Prime Minister Héderváry whom he kills in spite of Mari's protest. The regime does not change because of this, and although the murder is covered up, the innocent Mari pays for it with her life. - The dream comes to an end, and the red car dashes on with the lovers. (texte officiel du distributeur)

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Critiques (1)

Dionysos 

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français La deuxième partie reprend exactement là où la précédente s'est terminée, c'est-à-dire après la transformation du héros principal d'un terroriste blanc en ami du peuple. C'est précisément cette transformation que nous avons observée tout au long de la Rhapsodie, et elle m'a semblé très mal maîtrisée : 1er moment = István est imprégné de l'intolérance des grands propriétaires fonciers, il lutte cruellement du côté de la contre-révolution ; 2ème moment = István recommande l'allocation de terres aux petits agriculteurs pour "repousser le vent rouge des voiles", il s'agit évidemment d'un geste opportuniste calculateur ; 3ème moment = István, en guenilles paysannes, est assis à table aux côtés de son ancienne classe sociale. Rien ne s'est passé entre les moments 2 et 3 qui éclairerait de manière cohérente cette transformation. Heureusement, dans l'Allegra, ce problème est résolu (et il est donc paradoxal que l'histoire dans laquelle les personnages ne changent pas soit meilleure), et nous pouvons ainsi savourer la lutte éternelle de l'arrogance et de la brutalité de la richesse et du pouvoir contre la souffrance et la résistance de la pauvreté sur fond de l'histoire qui défile. Il n'est pas nécessaire de parler de la maîtrise magistrale de la mise en scène, il est également très agréable de jouer avec la disposition des personnages, qui n'est pas seulement le produit de mouvements habiles des acteurs sur scène, mais aussi du montage miraculeux du film. ()

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